... C’est pour moi la plus grande consolation possible que de nourrir l’espoir de voir bientôt se renouer les liens qui m’attachent à ma famille, d’entrevoir la possibilité qu’un même toit nous réunisse tous ensemble quelque jour. ...
Lettres à ses enfants, Tome I. 1825-1854
... Lettres à ses enfants • 1838 sauras, tu me l’écriras par l’entremise de M. Porter35. Oh oui, j’y volerais à l’instant avec le plus grand empressement. ...
... À ces respectables amis et à leurs familles, tu exprimeras l’assurance de mes respects, mes remerciements sincères, mes souhaits pour leur santé et leur bonheur. ...
... Tu veux à toute force que je m’occupe d’écrire, oui, nous le ferons un jour ensemble, si nous sommes rendus à notre pays, à ma famille, à mes livres, à quelque repos et tranquillité d’esprit. ...
... 1838 • Lettres à ses enfants Si quelqu’un doit venir à Saratoga, qui ne voudrait pas venir ici, j’irais là. Et quand tu apprendras que quelqu’un doit venir, tu m’en feras part. Je reçois une lettre d’O’Callaghan aussi. ...
... Lettres à ses enfants • 1838 éloges, et provoquant des réunions pour discourir sans résultats possibles en faveur du Canada. ...
... Mme Pratt, Dlle Dulongpré jadis, ne sait pas que je suis ici; mais, indirectement, j’ai employé quelque ami pour la voir et apprendre des nouvelles de sa famille et de la mienne à Saint-Hyacinthe. ...
... Clarence52; entretiens nos relations avec des familles d’aussi bon cœur et respectables que celles de MM. Cowen et Porter. ...
... Dans une lettre du 23 de ce mois, M. Dulongpré53 écrivait à sa fille, Mme veuve Pratt54: «La famille dont tu m’as parlé sont aujourd’hui tous en bonne santé.» C’était de la nôtre. M. ...
... Note d’Augustine Bourassa sur le manuscrit de la lettre: «Probablement M. Quiblier; voir lettre du 6 mai 1838.» 57. L’Albany Argus, journal officiel de l’État de New York, édité par Edwin Crosswell, un ami de la famille Porter. ...