Lettres à ses enfants, Tome I. 1825-1854

Lettres à ses enfants, Tome I. 1825-1854

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... Amédée à ses parents, 21 novembre 1852. 240 Louis-Joseph Papineau — Correspondance 240 16 mars, 2004 15:38:37 Épreuve conforme au PDF • Page 240 ...

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... Couchant en bas avec sa maman, elle ne doit pas avoir peur qu’il fasse du bruit et des menaces pour l’inquiéter, ou bien qu’elle aille demeurer quelques jours avec toi et notre chère Marie. ...

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... Ma chère Marie, pourquoi donc est-elle indisposée? Quand j’y serai pour soutenir son courage, elle supportera mieux les petites misères passagères que donne une santé délicate, dans une aussi mauvaise saison que la présente. ...

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... [Rottermund], marié à Mlle Debartzch353 et demeurant à SaintCésaire, a écrit à M. ...

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... -Amédée Papineau, écr, protonotaire Montréal [reçue vendredi 9 août 1850] [Petite-Nation], mercredi [7]356 août 1850 Mon cher Amédée, Nous avons eu le plaisir de recevoir une lettre de notre chère Marie et, à l’instant, la tienne. ...

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... Pour celle qui demande du goût, c’est à Marie qu’on la confie. Qu’elle prenne chez Beaudreau trente verges du tapis de coton qu’elle recommande et le fasse porter à mon compte. ...

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... Que pour notre chère Marie le séjour près de ses bons parents soit tout heureux et tout agréable, cela va sans dire, mais qu’elle n’oublie combien sont nombreux ici ceux qui, de leurs vœux et prières, avancent son retour et souhaitent sa bonne compagnie ...

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... Fais nos meilleures amitiés à notre chère Marie et à ses bons parents. S’il est en leur pouvoir de vous aider, c’est un moment où l’utilité en sera plus grande que dans d’autres. Je pense que tu dois tenir à conserver ton emploi malgré cette avanie. ...

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... Quoique ce soit jeudi prochain que je pense t’aller voir, que cela ne t’empêche pas de m’écrire longuement, par le retour d’Aubertin, pour me dire que tu as santé et courage, et que notre chère Marie aussi est bien, puis pour savoir si l’on t’a fait ta ...

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... avec nous que s’en éloigner et de ses occupations assidues de ménage lui a d’abord fait dire qu’elle ne croyait pas devoir nous laisser, mais, après observation, je crois devoir profiter de tes offres obligeantes et de celles de notre chère et bonne Marie ...