... Bien qu’il soit inutile de rêver, Marie s’arrête devant la vitrine de la boulangerie-pâtisserie du boulevard Malesherbes comme elle le fait chaque fois en revenant du parc, pour le plaisir des yeux, pour l’odeur aussi. ...
Louée (La)
... Marie prendrait volontiers la place de la boulangère si on la lui offrait. ...
... Marie ne peut s’empêcher de penser à ce que seront les retrouvailles avec son Louis qui ne la connaît pas. Madame Geneviève envoie Nounou chez le photographe avec la petite dans ses plus beaux atours. Marie reçoit une photo d’Adélaïde en 133 ...
... Marie poste la photo à Marthe. ...
... La petite court à quatre pattes sur le sable, se sauve le plus vite possible, rit aux éclats quand Marie la rattrape et la fait sauter dans ses bras. Nounou aime voir grandir « sa » fille. ...
... Pourtant, le seize de ce mois, Marie pense plus que jamais à son garçon. Il a un an aujourd’hui. C’est avec lui qu’elle aimerait être sur cette plage. Profiter de la bise sous l’immense ciel normand. ...
... J’ai mis au monde un garçon à Lyon, il y a un an, mais je ne suis pas mariée. J’ai pas de mari et pas d’amoureux. C’est arrivé à cause de mon patron qui m’a forcée. Voilà pourquoi mon fils n’a pas de père. ...
... La Marie a fauté, mais elle s’en revient pas les poches vides tout de même. — Un « petit Paris ! » À quoi t’as la tête ? Tu f ’ras pas avaler des couleuvres aux gens et encore 140 ...
... La Marie-Louise est si pressée de récupérer son bâtard ! Il en profitera pour livrer du bois d’œuvre à Saulieu et ramener au retour des sacs de chaux. Il fera d’une pierre deux coups. ...
... Il ira chercher le bâtard le plus vite possible, la Marie a déjà assez dépensé en nourrice. Il faut en finir, bon sang ! J’irai le lui chercher son Louis, se dit le père Brault, mais je l’ramènerai pas. Voilà tout ! ...