Louis XIV et le Canada, 1658-1674

Louis XIV et le Canada, 1658-1674

Page 148

... Anglais et Hollandais signaient la cession définitive de la ville, le 19 février 1674, lors du deuxième traité de Westminster. Ainsi se terminait cette lutte pour la possession de la Nouvelle-Hollande. ...

Page 151

... La guerre de Hollande terminée avec les traités de Nimègue (1679-1680), on atteint l’apogée du règne du roi, depuis peu nommé Louis le Grand par le peuple de Paris. ...

Page 152

... Ainsi s’est développée une mystique de la monarchie absolue, alors à son zénith, dont il faut rappeler les traits tels qu’ils apparaissent dans les écrits du temps, ceux du roi en premier. ...

Page 154

... Aussi emprunte-t-il les traits d’Hercule, le dieu aux cent travaux dont on peut lire l’apothéose dans la Galerie des glaces. En contrepartie, il impose un pacte de fidélité à ses sujets qu’il assujettit à la règle unique : le service du roi. ...

Page 155

... Le maître du baroque, le Bernin, de passage à Paris, ne réussit pas à imposer sa vision de l’art monumental comme il l’entendait. Louis XIV lui préférait la représentation « classique », à la française. ...

Page 158

... Au lendemain du traité de Ryswick20, il s’inquiétait de l’état des colonies, en particulier du Canada. Il avait désiré « mille fois » visiter le Canada. Les colonies, celle du Canada en particulier, c’était selon ses propres mots « sa folie21 ». ...

Page 166

... Le chapitre II traite de la diversité des origines, p. 44-109. 3. De 1663 à 1673. 4. Yves Landry, op. cit., p. 12. ...

Page 169

... On en comptait six à Paris : Saint-Sulpice, Saint-Eustache, SaintBenoit, Saint-Sauveur, Saint-Nicolas et Saint-Merri. Les Relations des jésuites ...

Page 170

... L’Hôpital général des pauvres de Paris sera-t-il un refuge ou une prison ? ...

Page 171

... On a conservé au Musée14 de l’assistance publique et des hôpitaux de Paris une toile montrant Vincent de Paul siégeant avec cinq dames, toutes intéressées au sort de la Nouvelle-France. ...