Maison Kent (La)

Maison Kent (La)

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... Ne sachant pas ce qui allait advenir de la colonie, la guerre n’étant pas complètement terminée dans certaines régions du pays, il préférait que sa famille ne quittât pas Québec jusqu’à la signature du Traité de Paris. ...

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... Malgré une certaine nostalgie du régime français, les membres des Sept Nations indiennes se rallièrent aux Anglais après avoir conclu un traité de neutralité avec William Johnson, le surintendant des Affaires indiennes. ...

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... Étranger dans son pays, hanté par le déclin de la Nouvelle-France, déçu par les calomnies qui l’accablaient malgré ses loyaux services, « … tandis que des fripons, reçoivent des traitements de faveur », comme il l’écrit à sa femme au ...

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... Depuis le Traité de Paris en 1763, les nouveaux dirigeants anglais s’efforçaient de mettre en œuvre les articles de la capitulation. ...

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... carte que la France ne lui envoyait plus, car elle était en banqueroute5 : elle devait environ 90 millions de livres au Canada, dont la moitié aux particuliers qui venaient réclamer leur dû aux autorités anglaises pour qu’elles interviennent auprès de Paris ...

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... Comme le rapporte Claude Galarneau, des réfractaires à l’inscription sur les rôles de milice auraient même traité, en mai 1794, le général Alured Clarke, lieutenant-gouverneur, de « gueux », et le prince Edward, alors commandant en chef des troupes, de ...

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... 86 la maison kent avec tous les traits de leur caractère national, et les Canadiens ont conservé tous les traits du caractère français25… » La différence se retrouve aussi dans la presse locale : « … Il paraît à Québec un journal appelé La Gazette, ...

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... La Conquête de 1759 et les conséquences du Traité de Paris avaient entraîné le retournement du Canada vers l’Angleterre, mais la référence pour les Canadiens français demeurait la France. ...

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... Le Canada présentera à nouveau ses richesses en Europe lors de la nouvelle Exposition Universelle à Paris en 1900. Les banques françaises demeurent pourtant frileuses, sauf le Crédit Foncier franco-canadien qui avait investi dès 1880 au Canada. ...

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... James Strachan s’était associé également dans les années 1760-1770 à Edward Harrison, marchand armateur et anglais ; tous deux étaient intéressés par le commerce vers les Carolines et la traite des fourrures dans tout le pays. ...