Mandarin de l'ombre (Le)

Mandarin de l'ombre (Le)

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... Puis, les premiers diplômés de l’ENA sont de retour de Paris : Pierre Martin, Yvon Tremblay, qui dirigera plus tard l’Office de planification et de développement du Québec, Claude Descôteaux, futur sous-ministre à l’Industrie et Commerce, etc. ...

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... À Paris, j’entretenais une amitié avec le conseiller d’État Roger Grégoire, heureux de nos progrès administratifs. Son traité sur la fonction publique française était un livre de référence pour moi. ...

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... En informatique, nous sommes encore à l’époque du IBM 360 et un groupe d’entre nous, dont Després et Casavant, passe trois jours au siège social de la compagnie, à Poughkeepsie (New York), à examiner comment ces appareils peuvent traiter les volumineuses ...

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... La politique salariale résultait d’une recherche sur les traitements dans le marché québécois des grandes entreprises et intégrait les ...

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... 162 l e m a n d a r i n d e l’o m b r e principes mis de l’avant depuis quelques années : équivalence des traitements pour des emplois comparables dans le marché, compte tenu des heures de travail, parité hommes-femmes pour les mêmes emplois, absence ...

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... Pour plaisanter, je l’appelais «  lord Keynes  », car il me semblait partager la pensée et d’autres traits du grand économiste anglais. ...

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... Puis, je le revis comme délégué du Québec à Paris où il nous représenta en mettant l’accent sur les relations économiques entre la France et le Québec. ...

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... Je me rappelais son entrée triomphale à Paris, en 1944, alors qu’il n’avait même pas été consulté sur les plans et l’opération du débarquement. Par délicatesse, Eisenhower lui avait cédé le passage. ...

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... En janvier, je retourne en France, plus précisément à Bordeaux, pour l’ouverture de l’École internationale d’administration publique qui a été mise sur pied avec le gouvernement français à l’intention des fonctionnaires cadres africains : Paris fournissait ...

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... Chaque sujet était traité par un professeur reconnu dans sa spécialité dans une des universités du pays, ou par un journaliste ou un haut fonctionnaire, puis nous étions libres de questionner le conférencier durant une heure et demie. ...