Marie-Anne

Marie-Anne

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... Marie-Anne et Reine jouissaient au moins d’un peu d’intimité. Et, bien sûr, elles n’avaient pas à hiverner dans un wigwam en plein vent. Elles étaient nourries et ne s’inquiétaient pas du risque d’être gelées jusqu’aux os pendant la nuit. ...

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... Marie-Anne trouvait sans doute l’atmosphère un peu étouffante. ...

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... Marie-Anne les aida peut-être, mais les Lagimodière n’avaient pas eu beaucoup de temps pour rassembler des carcasses de bisons durant leur voyage vers l’Ouest. ...

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... Le journal de James Bird pendant le premier hiver que Marie-Anne passa à Fort Edmonton indique à quel point la population blanche dépendait des Indiens pour manger à sa faim : 20 janvier : envoyé deux hommes avec des chevaux et des traîneaux chez les ...

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... Ils devaient jouer un rôle bouleversant dans la vie de Marie-Anne. Il y avait une autre bande d’Indiens des Prairies qui visitaient souvent les forts – les Gros-Ventres (appelés aussi Atsinas). ...

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... Enfin, le 22 mars, ils attrapèrent seize bisons. ...

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... Jean-Baptiste rentra finalement et Marie-Anne fut submergée de joie à sa vue, pour la raison principale que Fort Edmonton était ...

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... Marie-Anne l’appela Argent. Comme toutes les femmes autochtones, elle montait avec une selle indienne. ...

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... Marie-Anne se souvint toujours de cet été 1809 comme l’un des plus agréables de sa vie. La température restait chaude et le ciel ensoleillé la plupart du temps. ...

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... Le cheval de Marie-Anne s’arrêta net dans sa course, mais seulement l’espace d’un instant. Puis, il s’emballa, galopant aussi vite qu’il le pouvait vers la rivière que le troupeau était en train de traverser. Marie-Anne ne pouvait l’arrêter. ...