... LaPrairie avait besoin d’être nourri de nombreuses fois dans la journée et, même si Marie-Anne n’avait pas besoin de descendre de cheval pour cela, elle ne pouvait pas avancer à vive allure. ...
Marie-Anne
... Les femmes cries voyageant avec Jean-Baptiste et Marie-Anne n’étaient pas les seules à jeter des regards anxieux par-dessus leurs épaules tout en trottant. ...
... En mars 1802, une troupe de deux cents Gros-Ventres attaqua et tua dix Iroquois (proches alliés des négociants en fourrures qui les avaient emmenés vers l’ouest pour trapper) et deux Canadiens français de Fort Chesterfield. ...
... Marie-Anne dut cependant être heureuse de se retrouver à l’abri avec Reine et LaPrairie. Elle se mit rapidement au courant des nouvelles. Un des chiens avait mordu la fillette d’un employé et avait été abattu. ...
... Jean-Baptiste était parti pour l’hiver afin de trapper et Marie-Anne, avec un bébé et une jeune enfant, était particulièrement vulnérable. Mais, de toute façon, tout le monde était terrifié. ...
... Marie-Anne dut être bouleversée. Elle avait appris à aimer ces femmes, qui étaient presque devenues des sœurs pour elle. Trois jours après que Marie-Anne eut été mise au courant de la tragédie, Jean-Baptiste arriva finalement à Fort Edmonton. ...
... Marie-Anne se précipita jusqu’à ce qu’elle aperçoive l’Indienne qui se dirigeait à grandes enjambées vers son camp. ...
... Marie-Anne passait la ...
... Le matin suivant, Marie-Anne fut réveillée par un bruit de sabots. ...
... Il en conclut qu’ils étaient amicaux, mais Marie-Anne lui transmis sa suspicion. Il y avait de bonnes raisons de se méfier. ...