... Il est vrai qu’à Maskinongé elle était domestique, mais elle était néanmoins traitée avec respect. Son niveau d’alphabétisation lui aurait même permis de devenir femme de chambre ou gouvernante. ...
Marie-Anne
... Les canots venant de Montréal, chargés d’articles de traite et de provisions, s’arrêtaient dans une petite baie du lac Supérieur, juste au sud de la rivière Pigeon. ...
... Selon le traité de Jay, tous les forts britanniques devaient être déplacés vers le nord avant 1796. ...
... Les hivernants se dirigèrent vers le nord-ouest, emportant les articles de traite destinés aux Indiens. ...
... On y trouvait Fort Bas-de-laRivière, un vieux poste de traite établi par La Vérendrye soixantequinze ans auparavant. « Le poste était très bien situé et entouré de champs cultivés où poussaient des pommes de terre, du blé et des légumes », écrit Elizabeth ...
... L’établissement consistait en une maison en bois de chêne, blanchie à la chaux (qui servait aussi de poste de traite), une étable pour cinquante chevaux, des entrepôts, une glacière et des dortoirs pour les employés canadiens-français, le tout entouré ...
... Foster étudia les traits de caractère de ces hommes et il en ressort le portrait de Jean-Baptiste Lagimodière : C’était généralement un engagé qui s’était acquis la réputation d’un homme important parmi ses pairs. ...
... ch apitr e v 89 Le « coureur de dérouine », comme était appelé un commerçantemployé, devint le fer de lance du poste de traite. ...
... Les enfants et les chiens erraient partout, les aînés étaient assis, fumant leur pipe et faisant des paris. Devant chaque maison ou chaque wigwam, on voyait de grands ...
... Le chef Little Crow II expliqua en 1819 à Thomas Forsyth, agent du gouvernement des États-Unis, pour quelles raisons les Dakotas refusaient d’envisager un traité de paix avec les Ojibwés : [Little Crow] observa que la paix pouvait être rapidement établie ...