Marie-Anne

Marie-Anne

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... Les familles des Gaboury, des Mainguy et des Lagimodière qui vivaient le long de cette route se comptaient par centaines, si ce n’est par milliers d’âmes. ...

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... Les gens libres vivaient en retrait avec leurs familles, chassant le bison et d’autres gibiers, piégeant le coq de bruyère et les petits animaux, et pratiquant la pêche. ...

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... Les femmes ojibwés épousèrent des trappeurs blancs et les familles fournirent aux voyageurs des aliments qu’ils avaient réunis pour eux – des oignons sauvages, des prunes, des panbines (une sorte de fruit) et des raisins. ...

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... Elle appartenait à John Johnson, descendant d’une riche famille irlandaise, et à sa femme, la fille de Wabogish (pêcheur de corégones), le chef ojibwé. John Johnson était un trappeur indépendant très prospère28. ...

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... à la dépense – ils choisissaient des articles de luxe pour eux-mêmes, comme des mouchoirs de soie, des plumes de couleurs, des cordelettes à chapeaux voyantes, des croix d’argent et, s’ils hivernaient, ils achetaient aussi pour leurs femmes et leurs familles ...

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... En 1803, le fort Kaministiquia avait été construit près de l’entrée de cette « voie fluviale de communication » redécouverte. ...

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... Une palissade, indispensable pour protéger les habitants des incursions des Sioux dakotas, entourait quatre bâtiments  : la «  Grande Maison  », résidence pour dix hommes, une maison pour la famille Chaboillez, une autre pour le premier adjoint Desjardaix ...

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... Les résidences, par exemple, furent détruites et reconstruites en 1803. « Les hommes commencèrent à démolir nos maisons, qui étaient faites de mauvais bois, et à les reconstruire en chêne. ...

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... Quand les Lagimodière arrivèrent en 1807, il y avait environ quarante-cinq hommes libres avec leurs familles, qui vivaient et travaillaient sur le territoire autour du fort, selon Alexander Henry, et leur nombre allait grossissant. ...

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... Beaucoup de Canadiens partageaient… la vie des autochtones, choisissant de passer tout l’hiver dans leurs tentes, près de leurs familles, sans être gênés par le froid rigoureux ou l’inconfort de leurs installations… Un tel éloignement étant important ...