... Et quels avantages la jeune mariée apportait avec elle ! ...
Marie-Anne
... Jean-Baptiste connaissait la plupart de ces gens depuis ses séjours dans le NordOuest, mais il en était autrement pour Marie-Anne. Bien que la logique pût expliquer ces faits, le camp était anarchique, désordonné, bruyant et il sentait mauvais. ...
... Dès son arrivée, Marie-Anne s’occupa à sortir ses affaires, à raccommoder les vêtements déchirés pendant le voyage, à apprendre à cuisiner dans un chaudron posé sur un trépied. ...
... Un des biographes de Marie-Anne prétend qu’elle rencontra Alexander Henry à Fort Pembina19. ...
... C’était le fils d’un couple marié d’esclaves antillais qui appartenait au capitaine Daniel Robertson, commandant anglais de Fort Mackinac, situé au confluent des lacs Michigan et Supérieur, dans les années 1780. ...
... Néanmoins, le déplacement semestriel de 1807 fut une affaire de famille dont Jean-Baptiste et Marie-Anne firent sans doute partie. ...
... Quand Marie-Anne retourna à sa tente, elle remarqua que ses voisins la regardaient. La femme cracha soudainement quelque chose en cri, d’une façon si stridente et si furieuse que Marie-Anne pensa qu’elle devait être folle. ...
... Et qu’en était-il de l’indignation et du chagrin de Marie-Anne ? ...
... Le bison est abondant. » Jean-Baptiste et Marie-Anne rejoignirent la cohorte dans les Hair Hills, à soixante-cinq kilomètres à l’ouest. Leurs biens étaient entassés sur un travois3 tiré par un cheval. ...
... En tant que femme de chasseur, Marie-Anne comprit qu’elle devait apprendre des rudiments du travail de boucherie. ...