... Des jours sombres 55 Visite de Marie Brazeau L’an mil six Cens quatre vingts douze Le huitiesme Jour de Novembre Dix heures du matin Nous Jaques alexis de fleury Escuyer S r dEschambault Licentié en Loix ad[voca] t au parle[men]t de paris Baillif Juge ...
Marie Brazeau
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... L’engagement en Nouvelle-France n’a pas la rigueur qu’il peut avoir en France mais, quand même, les contrats d’engagement stipulent ordinairement que le maître doit traiter son engagé humainement. ...
... Toujours prudente, Marie Brazeau, comme pour l’engagement d’Anthoine Guérin en février 1696, fait spécifier toutes les conditions de l’engagement et s’assure que son fils sera traité « humainement ». ...
... Ce rôle se greffe tout naturellement à la fonction commerciale de la ville, qui est la plaque tournante de la circulation des fourrures et des marchandises de traite » [...] ...
... Il contient tous les articles usuels, le tout suivant la Coutume de Paris, adaptée au contexte canadien. Pierre Raimbault, de son écriture fine et soignée, rédige cet acte de concession à Guillaume Tougard. ...
... Cette crise monétaire s’ajoute à la crise économique causée par l’effondrement, quelque temps auparavant, de la Compagnie de la Colonie, qui a provoqué la désorganisation de la traite des fourrures, industrie vitale de la colonie. ...
... D’autre part, Marie Guertin s’engage à le traiter « humainement », à lui fournir sa nourriture et l’entretenir « des hardes Linges & Chaussures Suivant Sa Condi[ti]on pend[ant] Led[it] temps ». ...
... Marie Brazeau et Didier Bourgouin, originaire de la paroisse Saint-Paul de Paris, et soldat de la compagnie de Montigny, sont assistés de leurs amis communs Simon Gilbert dit Sanspeur et François Bary dit St-Onge, tous deux soldats des troupes régulières ...
... En échange des services rendus par Guillaume, Nicolas Brazeau s’engage à « lui fournir & Livrer son boire manger, feu, lit, gitte & luminaire & le traiter doucement & humainement comme Il appartient ». ...
... 134 dit Francœur l’a traitée de faussaire, que la fille de Nicolas Brazeau et Nicolas Brazeau lui-même l’ont insultée en l’appelant « race de pendu » (injure courante à l’époque) et qu’elle a dû répondre à la fille de Nicolas qu’elle n’a « qu’a en prendre ...