Médecine en Nouvelle-France (La)

Médecine en Nouvelle-France (La)

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... Il est né en 1735 et est originaire de la paroisse de Saint-Sulpice de Paris. Il est le fils de Didier Mondelet et d’Anne Meneveau, de Paris1. ...

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... En plus d’être accoucheur à domicile et d’être chirurgien à l’Hôtel-Dieu, Puibarau exerce son art pour traiter les fractures et les traumatismes, comme le rapporte Renald Lessard6. ...

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... puisque deux chirurgiens de cette institution sont présents et signataires de ce contrat, soit Joseph Benoist, médecin du roi et chirurgien major des troupes du détachement de la marine à Montréal, et son fils, Claude Benoist qui, récemment de retour de Paris ...

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... Le problème de la traite des ...

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... Frontenac a émis une ordonnance sur les permis de traite, et François Perrot, gouverneur de Montréal, a contrevenu à cet ordre. Devant cette insubordination, Frontenac fait emprisonner Perrot5. ...

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... la colonie, insatisfait de sa situation et avec une certaine velléité d’abandonner la chirurgie pour devenir prêtre, il décide, en 1694, de retourner en France pour étudier la botanique avec Joseph Pitton de Tournefort au Jardin royal des plantes à Paris ...

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... Avant de venir à Ville-Marie, il s’était dépensé sans compter pour traiter la population de la ville de Québec aux prises avec une épidémie de fièvre maligne. ...

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... En février 1674, il constitue une rente annuelle en faveur du Séminaire de Saint-Sulpice de Paris, seigneur et propriétaire de l’île de Montréal10. En février ...

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... Par son brevet de médecin du roi, il doit visiter et traiter les officiers et les soldats « dans leurs maladies ». ...

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... Ces lettres sont conservées dans les archives de la Marine à Paris. ...