... Dans ce brevet, les devoirs du récipiendaire sont spécifiés : « Pour en lad. qualité panser et traiter les officiers et Soldats des Compagnies du détachement de la marine que Sa Maté entretient aud. ...
Médecine en Nouvelle-France (La)
... En 1763, le traité de Paris scellera définitivement le sort de la colonie française en Amérique. ...
... À cela s’ajoute une somme annuelle de 300 livres pour « ses courses et voyages » pour traiter les Amérindiens. De juillet 1746 jusqu’en août 1760, moment de la capitulation de Montréal, les religieuses de l’Hôtel-Dieu lui versent un montant ...
... Il traite toute la haute société de Montréal : mère d’Youville, madame Bégon, messieurs de Bleury, Péan, Varin et même le gouverneur Jonquière. ...
... Gui Patin, le doyen de la Faculté de médecine de Paris, se vantait de « saigner ses malades jusqu’à 30 fois de suite au cours d’une même maladie, y compris vieillards et enfants à la mamelle ». ...
... Les chirurgiens de la Nouvelle-France ne contestent pas cette pratique et l’utilisent couramment pour traiter leurs patients. ...
... À cette époque, les traitements médicaux sont le plus souvent empiriques et peu efficaces. ...
... De plus, le roi fait parvenir chaque année aux hôtels-Dieu un coffre rempli de médicaments destinés au traitement des indigents de la colonie. Dans une forte proportion, ces médicaments sont des plantes médicinales. ...
... Malgré cet épisode historique, très peu des plantes médicinales qui servaient aux Amérindiens ont été utilisées par les chirurgiens français pour traiter les colons de la Nouvelle-France. ...
... Cette situation finit par provoquer, en 1650 à Paris, la querelle de l’antimoine entre Chartier, professeur au Collège du Roi, et Gui Patin, doyen de la Faculté de médecine. Un autre remède obtient la faveur populaire des praticiens : la thériaque. ...