... Il fallait davantage traiter les lésions traumatiques accidentelles et les blessures de guerre. ...
Médecine en Nouvelle-France (La)
... Notes de la première partie Chapitre I 1. Panckoucke, CLF, Dictionnaire des sciences médicales par une société de médecins et de chirurgiens, p. 84-91, Paris, 1813. 2. D’allaines, Claude, Histoire de la chirurgie, P.U.F., chap. 1, Paris, 1961. 3. ...
... À l’annexe IV, on retrouve la liste chronologique des 24 chirurgiens qui ont exercé leur art à l’Hôtel-Dieu de Montréal depuis sa fondation jusqu’au traité de Paris qui met fin au Régime français en 1763. ...
... Immédiatement, les Ursulines requièrent ses services pour traiter les patients de leur hôpital à Trois-Rivières. ...
... En juin 1749, alors qu’il est en service dans les rades de Toulon et de Rochefort, il reçoit l’ordre d’embarquer sur la frégate La Diane pour venir traiter les officiers et les soldats blessés au Canada. ...
... Pendant les cinq années qu’il fut chirurgien major de l’Hôpital ambulant de l’armée, non seulement il se dépense à traiter les militaires sous son commandement, mais il offre également ses services à la population civile. ...
... La tâche des chirurgiens militaires ne se limite pas uniquement à traiter les blessés de guerre. ...
... Ce chirurgien français, né vers 1645, fils de Gervais Baudouin et de Jeanne Desrues, de la paroisse Saint-Brice du diocèse de Chartres, demeurait à Paris avant de venir s’établir en Nouvelle-France1-2. ...
... Les traitements multiples prodigués par les illustres membres de la Faculté avaient été inefficaces. Reconnaissant envers son chirurgien, Louis XIV nomme des chirurgiens-barbiers comme chirurgiens majors aux armées régulières. ...
... Par cet acte, il s’engage à avoir soin de François, à le nourrir quel que soit son état de santé, à le vêtir de tous les vêtements nécessaires, hardes et chaussures, selon son âge, à le traiter doucement et humainement jusqu’à ce qu’il ait atteint l’âge ...