... capacité et de ses talents par sa réputation : c’est un bon chirurgien, la vérité est qu’il a fait à Montréal quelques opérations délicates de chirurgie avec succès ; qu’il a la confiance et l’approbation du public de cette ville même dans sa façon de traiter ...
Médecine en Nouvelle-France (La)
... Il traite également toute la haute société de Montréal : mère d’Youville, madame Bégon, messieurs de Bleury, Péan, Varin et même le gouverneur Jonquière. Toute cette clientèle riche lui rapporte d’excellents revenus. ...
... Sa découverte d’une recette secrète pour traiter les cancers allait contribuer à son succès financier et à sa renommée professionnelle. ...
... L’historienne écrit l’anecdote suivante au sujet de Sœur Le Jumeau, une patiente traitée par Forestier : « Sa santé était des meilleures qu’on ait vu ici. Elle n’a été arrêtée de maladie que deux fois pendant 42 ans qu’elle a été dans cette maison. ...
... Le 24 février 1684, le Séminaire de Saint-Sulpice de Paris, seigneur et propriétaire de l’île de Montréal, assisté ...
... Le 1er juin 1713, par son procureur, Louis Lecavelier, Forestier vend une part de permission pour le commerce de la traite pour le fort de Pontchartain à Cécile Caton et Jacques Campot, son époux11. ...
... 198 la médecine en nouvelle-france poitrine » et qu’il connaît bien le défunt puisqu’il l’a traité depuis six mois pour cette longue maladie. ...
... rapportent ce qui suit : « Par devant nous Jacques Le Neuf Escuyer, sieur de la Poterie, ont comparu Michel Gamelain dit Lafontaine contre Louis Pinard, tous deux chirurgiens, ledit sieur de Lafontaine demandant paiement de la somme de 17 livres pour le traitement ...
... Cette tâche lui est d’autant plus facile qu’il parle couramment la langue des indigènes de la région. ...
... À partir de 1664, on ne retrouve plus de trace de Gamelain comme chirurgien dans les archives de Trois-Rivières, sauf pour soigner ou panser à l’occasion ses compagnons de voyage de traite et les Indiens blessés lors des rixes6. ...