Mémoires sur la dernière guerre de l'Amérique septentrionale

Mémoires sur la dernière guerre de l'Amérique septentrionale

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... Le cinquième étant par le 45d 47’’ de latitude, et 11d 21’’ longitude de Paris, après midi, le général fit signal de forcer de voiles sans 8. ...

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... On mit à la cape à l’Ouest Nord-Ouest on était par le 46d 9’’ de latitude, longitude 46d 29’’ de Paris. On se faisait à 47 1ieues du grand banc. On vit des bancs de glace d’environ 1/4 de lieue de circonférence. ...

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... Dieskau commença à traiter les troupes à l’allemande. Il ne voulait plus parler aux officiers particuliers, ne recevait des représentations que des chefs de corps qu’il ne consultait jamais (grand inconvénient dans une petite armée). ...

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... Son traitement fut long. ...

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... Si on ajoute à cela la consommation des effets vendus aux Sauvages pour la traite, on jugera aisément que ces magasins étaient bientôt vuides. ...

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... Quoiqu’il n’eût que la partie des vivres, les bâtimens lui apportaient néanmoins de France les assortiments de marchandises de traite qu’il vendait au roi, au prix courant du pays. ...

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... On dit que M. de Montcalm l’avait sollicité étant en France, parce qu’il croyait ce traitement trop fort. Il ne tarda pas à se repentir de cette démarche. ...

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... La traite de ce poste appartenait à M. Varrin. Ils [les Missisakes] formèrent le projet d’égorger cette petite garnison et de piller le fort. ...

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... Les Chicachas ne voulurent pas entrer dans ce traité. Il serait trop long et trop ennuyeux de donner les détails des partis qui se sont faits. ...

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... Comme ce poste était le plus considéré, soit par sa situation, à cause du grand nombre de Sauvages qui y commerçaient et venaient de toutes parts pour traiter et aller en parti, il fut bientôt envié par tous les officiers de la colonie. ...