Mémoires sur la dernière guerre de l'Amérique septentrionale

Mémoires sur la dernière guerre de l'Amérique septentrionale

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... de longueur, et que les Sauteurs de 13 brasses équivaut à Michilimakinac avaient été à Niagara pour voir comment on les environ 25 mètres. traiterait ; mais qu’ils s’en étaient retournés fort mécontents, le commandant leur ayant seulement permis de traiter ...

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... Il ajouta que des Pouteotamis étaient venus en traite à Niagara, qu’ils avaient dit aux Anglais : « nous venons voir comment vous nous traiterez, puisque nous avez mis hors d’ici notre pere ; nous vous demandons de la poudre et des balles pour chasser ...

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... Par une déclaration particulière, signée à Paris le 10 Février 1763, le roi promit de payer les lettres de change et billets qui avaient été délivrés aux Canadiens pour les fournitures faites aux troupes françaises, d’après une liquidation arrêtée dans ...

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... Fragment Sur la colonie française du Canada Le Canada a d’abord été peuplé par des pêcheurs et des particuliers qui faisaient la traite, c’est-à-dire, le commerce d’échange avec les nations sauvages ; par des soldats qui avaient reçu leur congé ; enfin ...

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... Il justifie les réflexions de l’auteur des observations sur le traité de paix conclu à Paris en 1763. Voyez p. 80, 81, etc. 177 Henri-Maire Dubreuil de Pontbriand (17081760), sixième évêque de Québec. ...

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... Sa traite directe avec les Sauvages était peu de chose, avant que le roi eût nommé un munitionnaire. Ces magasins fournissaient les approvisionnements de bouche et de guerre, soit pour la traite, soit pour le service du roi. ...

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... Les gardes magasins, dans les postes du roi, étaient chargés seuls de cette traite et de rendre compte du produit à l’intendant. ...

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... Ils menaient avec eux un garde magasin, et faisaient la traite pour leur compte. ...

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... Ce fort ou poste était un quarré d’environ 30 toises de côté extérieur ; les flancs avaient 15 pieds : les courtines formaient les bâtimens du fort. il était de pieces sur pieces assez proprement ; il ne pouvait être utile que pour la traite. ...

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... Ce poste ne consistait dans son origine qu’en un hangar de traite, que les Iroquois avaient permis aux Anglais, en 1713, de construire. Il fut changé en fort, en 1727, par l’adresse de ceux-ci, qui ne cessèrent depuis de l’augmenter. ...