Michel Sarrazin, un médecin du roi en Nouvelle-France

... D’un autre côté, quelques historiens, dont Jacques Léonard et François Lebrun, ont privilégié une autre approche : « Mais, au-delà des jugements de valeur, on peut étudier l’implantation géographique et le rayonnement social du corps médical [...]59. ...

... François Rousseau a intitulé son ouvrage sur l’Hôtel-Dieu de Québec La croix et le scalpel. Peut-être que, lorsque l’on pouvait compter sur les soins d’un Sarrazin, le scalpel précédait la croix. ...

... De même, selon Georges-François Poulet, qui effectue un séjour à l’HôtelDieu de Québec du 8 octobre au 15 novembre 1718, les gens riches et ceux de l’Église n’hésitent pas à s’y rendre pour bénéficier notamment des soins de Sarrazin : Cependant ma maladie ...

... L’institution médicale, Québec, Les Presses de l’Université Laval, 1998, p. 10. 7. Renald Lessard, Pratique et praticiens en contexte colonial..., p. 193-194. 8. ...

... Pierre Darmon, « Le cancéreux et son milieu aux xviiie et xixe siècles », dans François-Olivier Touati (sous la direction), Maladies, médecines et sociétés : approches historiques pour le présent : actes du VIe colloque d’histoire au présent, Paris, Histoire ...

... François Lebrun, Se soigner autrefois..., p. 85. ...

... La procédure civile à la prévôté de Québec, 1667-1759, Québec, Presses de l’Université Laval, 1982, p. 12-14. 80. Extrait d’une lettre de François Ruette d’Auteuil, 18 octobre 1699, ANQ-M, AC, Série C11A, vol. 120, fol. 87-90. 81. ...

... François Gauthier Une continuité médicale Il faut se garder de voir cette activité de naturaliste en rupture avec ses activités médicales quotidiennes. ...

... LeBlond, « Michel Sarrazin : un document inédit », Laval médical, 31, 3, 1968, p. 364-368 ; Lettre de Champigny au ministre, 14 octobre 1698, ANQ-M, AC, Série C11A, vol. 16, fol. 102-106. 19. ...

... De son côté, François Rousseau a calculé que, de 1689 à 1723, quelque 23 500 patients ont été admis11. Ces malades, Sarrazin les suit de près s’il s’agit de cas désespérés, ou à peine si leur maladie n’inspire pas de crainte. ...