Monsieur Livre

Monsieur Livre

Page 128

... Il a déjà joué avec René Arthur, mais c’est à compter de mars 1960 que les deux adversaires amorcent une correspondance échiquéenne qui se poursuit régulièrement, pratiquement jusqu’à la mort de René Arthur à 63 ans le 11 septembre 1972. ...

Page 130

... Et, le 2 mars 1972, Tranquille écrit à René Arthur du Tranquille épistolier grand cru. ...

Page 131

... Tranquille, le 16 mars : Souffle court, dents serrées, œil fixe, cachant bien leur jeu, les carpes jouent aux échecs. Mais qui cache quoi ? ...

Page 134

... Le 25 mars 1967, Yves Beauchemin enseigne, lit, écrit. Il a 25 ans. Il fréquente la Librairie Tranquille. Il écrit au libraire : « Vous rappelez-vous un certain Yves Beauchemin [...] ? [...] ...

Page 139

... Les poètes Gaston Miron, Gatien et Paul-Marie Lapointe, Suzanne Paradis, Paul Chamberland. Les essayistes Jean Tétreau, Pierre Vadeboncoeur, Jacques Grand’Maison, Fernand Dumont, Gilles Marcotte, Michel Brunet. ...

Page 143

... Ils ont fait tous deux leurs études classiques au Collège Sainte-Marie, à une quinzaine d’années d’intervalle, et Forest se souvient, toujours dans sa lettre du 17 avril 2003 : [...] j’allais souvent voir, dans votre vitrine, si l’un des livres que j’ ...

Page 149

... les librairies tranquilles 149 créée cinq mois plus tard, le 21 mars 1977, et Jacques Godbout sera le premier président. Une semaine après le suicide d’Hubert Aquin. ...

Page 153

... Interview formidable... de Marie Laurier avec un portrait de moi en 1948 avec collier de barbe... puisque je veux de nouveau me laisser pousser la barbe ». ...

Page 166

... . *** Le premier lundi de décembre 1981, un double lancement : Le Jeu de dames, par Henri Tranquille (Guérin éditeur), et Écrire, vade-mecum à l’usage des écrivains, journalistes et pigistes, par Marie-Évangeline Arsenault et Benoît Dutrisac (Le marché ...

Page 167

... . *** Denys Gagnon ouvre le bal en mars et fut suivi, dans l’ordre, par Joseph Rudel-Tessier avec son roman Roquelune ; Robert Prévost avec ses éphémérides Il y a toujours une première fois ; François Barcelo tenta de nous convaincre de Courir à Montréal ...