Montréal, nid d'espions

Montréal, nid d'espions

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... La lettre provenait de R.D. Watson, un fournisseur de viande, homme d’affaires et sympathisant confédéré qui avait auparavant contracté un certificat de dépôt de près de 13 000 $ à la Banque de Montréal et qui s’était enregistré au St.  ...

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... TidwellL, op. cit., p. 146, 180, 187, 250, 275, 281 et 330-331. 39.  Ibid., p. 146. Après la guerre, Kane est devenu maire de Baltimore. ...

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... Musée McCord, collection Notman, Montréal, QC, 1871. I-67709. ...

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... La première est que la Mme Slater appréhendée était une autre femme que Sarah Slater puisqu’il y avait plusieurs familles du même nom à Baltimore en 1865. ...

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... D’autres furent appréhendés et emprisonnés simplement pour avoir connu John Wilkes Booth ou sa famille. ...

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... Booth fit appel à John Buckland et à sa femme, l’actrice Kate Horn, qui étaient propriétaires du Royal Theatre, ainsi qu’à des amis personnels de la famille Booth. ...

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... Ils devaient être complètement isolés, à l’exception d’un accès strictement contrôlé à leurs avocats et à quelques membres de leur famille. Stanton avait averti Hancock de ne pas leur permettre d’échapper à la potence22. ...

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... Des lettres provenant de l’Amérique du Nord britannique indiquaient qu’au moins un des témoins qu’il avait préparés, Richard Montgomery, était impliqué dans des escroqueries au Canada29. ...

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... Quoi qu’il en soit, Sarah Slater quitta Montréal pour de bon et s’installa à New York, près de sa famille. En 1866, elle divorça de son mari et les documents tombèrent dans le domaine public. ...

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... Le simple fait d’avoir le malheur de connaître Booth ou sa famille suffisait à faire arrêter quelqu’un. ...