... était constituée de poissons. ...
Narval (Le)
... un grand nombre d’espèces cétacéennes impossible à définir, car portant d’étranges noms : la « baleine-corbeau », la « baleine-porc », la « baleinebouclier », la « baleine-cheval », le « peigne rouge », le « coupeur de graisse » et le « conducteur de poissons ...
... On passa du commerce à l’unité de biens précieux comme l’or, les fourrures et l’ivoire à la vente en gros de marchandises comme les ballots de poissons séchés et les rouleaux de tissu en laine d’Islande, par exemple. ...
... Ils devaient savoir que ces défenses étaient en fait les dents surdéveloppées d’un gros « poisson » ressemblant à une baleine, et non des cornes de licorne. ...
... Renaissance : les rois de France se protègent avec une défense de narval Au Moyen Âge, les seigneurs et les rois se protégeaient des poisons grâce aux dents de narval. ...
... En effet, elle « détectait » le poison et guérissait les malades. La défense de narval était donc un objet sacré, précieux, thésaurisé, et parfois sanctifié. ...
... Depuis le xve siècle, la médecine médiévale de l’Europe occidentale utilisait également une autre matière première comme antipoison : la pierre de bézoard (du mot persan pādzahr, qui signifie « qui préserve du poison »). ...
... Ce dernier étudia les « cornes » et reconnut qu’elles n’étaient point des « cornes », mais des dents d’un mystérieux « poisson » encore inconnu vivant dans les aux septentrionales. ...
... lorsque le naturaliste et physicien Olaus Wormius – en français Ole Worm – (1588-1654), de l’Université de Copenhague, découvrit que la licorne n’existait pas et que cette « corne » vendue chez les apothicaires n’était en fait qu’une simple dent d’un « poisson ...
... Malheureusement, dans aucun de ces récits il n’est mentionné le narval, ni même un quelconque « poisson » avec une corne sur la tête, ce qui est surprenant vu tous les « monstres marins » illustrés dans les livres durant la Renaissance. ...