... les François est la principale raison qui rendra toujours les deux colonies incompatibles, et nous doibt convaincre que jamais les François ne se doivent fier aux Anglois ou Hollandois de ce païs là186 ...
Nouvelle-France. English Colonies.
... Mgr Laval, 18 juillet 1669, Mandements des évêques de Québec, Québec, Imprimerie Côté, 1887, vol. I, p. 78. ...
... François Dollier de Casson, Histoire du Montréal, p. 279. Le « considérable Yrocois » : un chef tsonnontouan, DBC, vol. I, p. 589. 19. RJ, 1669-1670, vol. LIII, p. 44. 20. ...
... Encerclement territorial réciproque Les païs qui sont aujourd’huy en contestation entre les François et les Anglois sont la Baye d’hudson et les postes qui sont occupez par les deux nations dans cette baye, le païs des Iroquois et la partie méridionale ...
... Premier à prendre la parole : Garakontié, « grand chef de bon esprit66 » des Onontagués, « brave capitaine Chrestien67 » baptisé par Mgr de Laval à Québec en 1670, et « constant ami des Français68 » depuis au moins 165369. ...
... Mais, dans l’attente de Louisbourg II (26 juillet 1758…), Louis XIV constate que toutes les frontières sont « en contestation entre les François et les Anglois : la baye 85. ...
... Mais la paix n’existera pas en Nouvelle-France, et l’Acadie, avec ses pêcheries et fourrures, est trop près des « Bostonnois [qui] souffroient très-impatiemment que les François demeurassent les Maîtres de Pentagoët et du fort de S.Jean91 ». ...
... Ils se rendirent d’abord à Sillery, puis, y devenant trop nombreux, s’établissent à compter de 1700 à Odanak106, sur la rivière Saint-François. Leurs descendants y seront massacrés en 1759, pour être demeurés fidèles aux Français. ...
... En somme, les Iroquois veulent « destruire successivement tous ceulx qui pourront s’opposer au dessein qu’ils ont de se rendre les maistres [de la traite] et obliger les François de quitter la colonie par le secours des Hollandois et Anglois117 ». ...
... entend quatre ou cinq langues des Sauvages, […] il scait toutes leurs manières et obtient d’eux tout ce qu’il veut, […] et il y a lieu de croire qu’avec la protection de Monseigneur, il fondera des colonies plus considérables que toutes celles que les François ...