... De 1686 à 1689, Iberville, « the scourge of the English », rend française la baie James, sans toutefois prendre le fort Nelson, principal centre de la traite. ...
Nouvelle-France. English Colonies.
... Drake-Cortez décide alors, à l’automne 1687, de se rendre en France pour convaincre les métropolitains de l’importance de la traite par le nord de la baie d’Hudson. ...
... Car depuis, cette trahison ayant « attiré un si grand mépris chez toutes les nations90 » amies, on constate que « les Anglois [en profitent] pour débaucher nos Alliés » de l’Ouest91 en allant traiter chez eux à des prix plus avantageux92. ...
... traitte des pelleteries100 ». 95. ...
... Dans le présent cas, le point de départ des prétentions françaises se trouve dans le détroit de Michillimakinac, centre névralgique de traite situé entre le lac Michigan et le lac Huron. Dès 1658, Radisson et Des Groseilliers y troquent. ...
... 116 nouvelle-france hollandais pour aller faire la traite à Michillimakinac132, espérant éventuellement l’y contrôler. ...
... Conséquemment, la supposée « protection des français, outre quelle leur est inutile par son impuissance, leur est même nuisible, […] par ce quelle leur ôte malgré eux la traite de l’anglais qui leur était incomparablement avantageuse165 ». ...
... Mémoires, Paris, Hachette, 1951, vol. II, p. 122. Et de poursuivre : « […] il demeura tellement ignorant [… qu’]il tomba, par ce défaut et quelquefois en public, dans les absurdités les plus grossières » !, p. 129-130. 170. ...
... — La baie d’Hudson et les fourrures, 1689-1696 — L’Acadie et les pêcheries, 1689-1696 — Terre-Neuve, 1685-1697 — La baie d’Hudson, été 1697 — À l’ouest et au sud : les alliances amérindiennes — Traité de Ryswick, 1697. ...
... Chrestien Le Clercq, Nouvelle Relation de la Gaspésie, Paris, Auroy, 1691, p. 332. 80. « Il s’est sauvé à Québec 150 matelots basques qui ont abandonné leurs vaisseaux sous crainte d’estre pris par ces flibustiers ». ...