Nouvelle-France

... Rapidement, les familles les plus influentes s’y font concéder des terres. Au milieu du xviie siècle, le promontoire de Québec, entre la Grande Allée et le fleuve, est le grenier de la colonie. On sème du blé et du houblon. ...

... Selon les historiens Jacques Mathieu et Alain Laberge, une bonne trentaine de chefs de famille possèdent un bout de terre sur cette partie des hauteurs de Québec durant la seconde moitié du xviie siècle. ...

... Dès 1639, six des huit terres de cette portion des hauteurs de Québec appartiennent à la famille Sevestre, des maîtres-imprimeurs-libraires originaires de Paris. ...

... Il établit le premier système d’allocations familiales : 300 livres par an pour les familles de 10 enfants et 400 livres pour celles de 12 enfants. Une petite fortune. ...

... , il donna les dimensions d’un empire ; en un mot, il jeta en Amérique les bases de ce « grand Royaume » dont il avait rêvé dès le premier jour... » Talon demande son rappel en France pour raison de santé et pour pouvoir s’occuper des affaires de sa famille ...

... Il est en conflit avec l’évêque François de Laval, avec le Conseil souverain, avec le gouverneur de Montréal et avec les principales familles de la colonie. ...

... Durant son premier séjour au Canada, il a écrit à sa femme de longues lettres qui racontent ses exploits militaires en fardant la vérité. La bonne Anne se charge de les lire à la cour émerveillée. ...

... Sur le promontoire, il y a le fort Saint-Louis, la maison de la famille HébertCouillard, la petite église Notre-Dame-de-laRecouvrance avec son presbytère où les jésuites ...

... Ruddel dans leur Histoire de la ville de Québec, 1608-1871 . Ce qui lui manque, c’est une masse démographique suffisante. À partir de 1647, le commerce de gros et détail est libéré des contraintes du monopole. ...

... Sources : Histoire de la ville de Québec, 1608-1871 , de John Hare, Marc Lafrance et D.-T. Ruddel, publié chez Boréal ; Dictionnaire biographique du Canada. 62 ...