Nouvelle-France

Nouvelle-France

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... Deuxièmement, va-t-on y installer une colonie ou un simple comptoir de traite ? La France choisit l’Acadie. D’abord à l’île SainteCroix, puis à Port-Royal. Et Champlain est d’accord. ...

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... Champlain ne parle plus d’un simple comptoir de traite mais bien d’une colonie de commerce. Il veut faire de Québec une société structurée où l’on pourra exploiter non seulement les fourrures mais toutes les ressources indigènes. ...

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... Pour aller au bout de son rêve, Louis Hébert a vendu sa maison et son jardin luxuriant de Paris. Il ne peut plus reculer. Pris au piège, il signe le document odieux et part avec sa famille. ...

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... Ils voient d’un mauvais œil tout nouvel arrivant dont le but premier n’est pas la traite des fourrures. ...

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... Ils sont en Nouvelle-France pour s’enrichir avec la traite des fourrures. Ils sont aussi ici pour vivre une vie d’hommes libres. Ils parlent les langues autochtones. Ils vivent à l’indienne. Ils vivent avec des Indiennes. ...

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... Durant les années 1660, le lieutenant général Prouville de Tracy fixe, pour la première fois, le prix de la traite avec les Indiens. ...

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... Dès 1639, six des huit terres de cette portion des hauteurs de Québec appartiennent à la famille Sevestre, des maîtres-imprimeurs-libraires originaires de Paris. ...

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... Leurs travaux sont publiés par l’Académie royale des sciences de Paris. Source : Les Plaines d’Abraham, le culte de l’idéal, de Jacques Mathieu et Eugen Kedl ; Dictionnaire biographique du Canada. 46 ...

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... Cela lui mettra à dos la moitié de la colonie qui ne vit que de la traite des fourrures avec les tribus indigènes. ...

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... Les arbitres seront l’archevêque de Paris et le confesseur du roi, le père La Chaise (le cimetière). Ils lui donnent raison sur l’essentiel. L’évêque de Québec revient de Paris triomphant et plus autoritaire que jamais. ...