... De 1704 à 1762, Rémy d’Orvilliers et deux d’Orvilliers subséquents s’efforcèrent de protéger du mieux qu’ils purent les autochtones contre les exactions de commerçants français sans scrupules et ne dérogèrent pas de la politique consistant à les traiter ...
Nouvelles-Frances (Les)
... La Condamine publia sa Relation abrégée d’un voyage (Paris, 1745) [88] et Pierre Barrère, sa Nouvelle relation de la France équinoxiale (Paris, 1743) [89]. ...
... Domingue (Paris, 1730-1731) [90]. Toutefois, les historiens contemporains ne partagent pas son opinion selon laquelle les petits Blancs auraient été responsables de la rébellion et préfèrent considérer ceux-ci comme des agents des grands Blancs. ...
... Cependant, le père Charlevoix [90] se montra beaucoup moins enthousiasmé par le mode de vie des planteurs, particulièrement en ce qui a trait à leur attitude cavalière par rapport à leurs devoirs religieux. ...
... Pendant un moment, la police de Paris fut payée en fonction du nombre des arrestations qu’elle effectuait. ...
... On trouve dans cet ouvrage bien d’autres choses encore, y compris la description de marchandises et un long chapitre sur l’art de traiter avec les esclaves noirs. ...
... Comme les Choctaws désiraient depuis longtemps l’installation d’un poste de traite dans leur territoire, il entreprit notamment la construction du fort Tombeche (1735) sur le bord de la rivière Tombigbee. ...
... Un autre jésuite, le père Lafitau, publia son monumental ouvrage intitulé Mœurs des sauvages amériquains (Paris, 1724) [99], qui traitait également Apogée et catastrophe 117 ...
... construction d’un réseau de postes de traite empêcha les Indiens d’aller porter leurs fourrures à la baie d’Hudson. Des postes furent établis au lac Winnipeg et jusqu’en Saskatchewan. ...
... Par ailleurs, les contacts entre les colonies et Paris étaient toujours ténus, accentuant la précarité des alliances indiennes, donc du commerce des fourrures. ...