... Bien sûr, une Nouvelle-France avait été sacrifiée, celle du froid, du castor, mais il restait celles du sucre, du café et en partie celle du poisson. Que sait-on des richesses inouïes d’une île comme Saint-Domingue ? Philip P. ...
Nouvelles-Frances (Les)
... Les îles d’Amérique pouvaient produire un peu de tabac, de poisson et de fourrures, accueillir les prisonniers et les vagabonds et, le cas échéant, servir de tremplin lors d’éventuelles attaques contre l’opulente Amérique espagnole. ...
... En 1675, la création, financièrement opportune pour la Couronne, d’une compagnie jouissant du monopole du commerce des fourrures, fit que les Canadiens purent vendre à prix garanti toutes les peaux de castor et d’orignaux qu’ils pouvaient obtenir. ...
... En même temps, le prix garanti versé par la compagnie pour le castor fut radicalement réduit. Cet ordre étonnant aliéna la majeure partie de la société canadienne, à l’exception des membres du clergé. ...
... Terre-Neuve fut cédée à la Grande-Bretagne, mais la « côte française » fut conservée en raison de sa commodité pour le séchage du 100 Les Nouvelles-Frances poisson. ...
... Donnant ses directives à un intendant canadien, le ministre pressa ce dernier de détourner les colons de la chasse et du piégeage abusifs, d’encourager 104 Les Nouvelles-Frances la production de farine, de pois, de bois d’œuvre et de poisson pour le ...
... En dépit d’une certaine augmentation du commerce maritime de la Nouvelle-France avec les Antilles, les insulaires continuèrent à s’approvisionner auprès d’eux en poisson salé, en bois d’œuvre, en farine et en pois. ...
... Ce jésuite voyagea de l’embouchure du SaintLaurent jusqu’à La Nouvelle-Orléans, abordant dans son journal différents sujets allant des avantages des colonies aux mœurs du castor. Cinq lettres de ce Journal sont consacrées aux sauvages. ...