... Vu la taille et la structure des ménages concernés, tout porte à croire que la plupart des enfants qu’on gardait à la maison devaient s’adonner à des travaux domestiques ou avoir la charge d’un membre de la famille (plus particulièrement un cadet ou un ...
Nouvelles pages trifluviennes
... À en juger par le nombre infime de familles qui retiennent à la maison plus d’un enfant en âge scolaire (seulement deux ménages ouvriers à faibles revenus), il semble, au contraire, que les Trifluviens consentaient des efforts incontestables pour l’alphabétisation ...
... Femmes, famille et éducation dans l’histoire du Québec, Montréal, Boréal express, 1983, p. 93-118. 35. Rappelons qu’à Trois-Rivières, l’âge médian de la population active féminine est de 25 ans en 1901. ...
... Il n’est pas rare de rencontrer plus d’une vocation au sein d’une même famille. ...
... Bien que la quasi-totalité des institutrices que nous ayons pu suivre demeurent célibataires, plusieurs allaient éventuellement se retrouver soutien de famille. ...
... affluence vers la ville de ruraux en quête d’emplois est un phénomène bien connu pour l’époque, mais en l’absence d’études précises sur les domestiques au tournant du siècle, rien n’indique si les candidates ont migré seules ou si elles ont suivi leur famille ...
... reg ards sur l a p opul ation de trois - rivière s il y a cent ans 43 Famille bourgeoise, vers 1894 (CIEQ, coll. René-Hardy, Fonds Trois-Rivières, série Conrad Godin, 118). ...
... Cela étant dit, la ville abrite également une petite communauté anglophone ainsi que des familles immigrantes d’origine très diversifiée. ...
... La transmission d’une génération à l’autre de la culture d’origine (la langue maternelle, notamment) repose entièrement sur la famille, l’école étant ici un puissant facteur d’assimilation et d’intégration. ...
... Au recensement de 1901, les représentants de la famille Hart déclarent l’anglais comme langue maternelle, mais ils indiquent également parler couramment français. ...