... Champlain estimait indispensable l’attribution d’un nouveau monopole de la traite des fourrures pour pouvoir poursuivre ses entreprises. ...
Œuvres complètes de Champlain, tome 1 (Les)
... Intelligence des deux cartes géographiques de la Nouvelle-France Il m’a semblé bon de traiter aussi quelque chose touchant les deux cartes géographiques pour en donner l’intelligence, car bien que l’une représente l’autre, en ce qui est des ports, baies ...
... La traite des fourrures étant libre depuis la révocation définitive du monopole de Dugua de Mons le 6 octobre 1609, Champlain a été confronté à la concurrence des traitants dans la vallée du Saint-Laurent en 1610 et 1611. 5. ...
... Les lettres patentes du 13 novembre 1612 l’ont nommé lieutenant général en Nouvelle-France et lui ont accordé, pour douze ans, le monopole de la traite des fourrures dans la vallée du Saint-Laurent, depuis Québec en amont. ...
... Par un arrêt du parlement de Rouen daté du 14 décembre 1613. 22. Le 5 février 1613, une compagnie a été créée pour exploiter le monopole de la traite des fourrures accordé au prince de Condé. ...
... Il avait déjà fait la traite des fourrures dans la vallée du Saint-Laurent en 1610 et 1611. ...
... Le 13, nous partîmes de Québec pour aller au saut Saint-Louis36, où nous arrivâmes le 21 et y trouvâmes l’une de nos barques qui était partie avant nous de Tadoussac, laquelle avait traité un peu de marchandises avec une petite troupe d’Algonquins, qui ...
... car ils avaient fait grande emplette de marchandises, sous l’espérance que les Sauvages viendraient comme ils en avaient l’habitude, ce qui me fit décider, en faisant mes découvertes, de passer en leur pays pour assurer ceux qui étaient restés du bon traitement ...
... N’ayant pour l’heure d’autre désir que de m’en revenir, je conviai les Sauvages à venir au saut Saint-Louis, où il y avait quatre vaisseaux fournis de toutes sortes de marchandises, et où ils recevraient bon traitement, ce qu’ils firent savoir à tous ...
... Après leur avoir raconté par le menu le bon traitement que j’avais reçu dans les demeures de ces Sauvages, et mon occupation journalière, je m’enquis aussi de ce qu’ils avaient fait pendant mon absence, et de leurs exercices, lesquels étaient la chasse ...