... Après que les Sauvages eurent traité leurs marchandises, et qu’ils eurent décidé de s’en retourner, je les priai de mener avec eux deux jeunes hommes121 pour les entretenir en amitié, leur faire voir le pays et les obliger à les ramener, ce dont ils firent ...
Œuvres complètes de Champlain, tome 1 (Les)
... Par exemple, Marc Lescarbot, La Conversion des Sauvages qui ont esté baptizés en la Nouvelle France, cette année 1610, Paris, Jean Millot, sd [1610]. 5. ...
... A la suite du bref obtenu du pape Paul V le 5 juillet 1618, l’évêque de Paris, Henri de Gondi, donnera le 8 août suivant un mandement proclamant saint Louis « patron et protecteur de la France ». ...
... Au début de 1618, Champlain a fait la connaissance à Paris de Nicolas de la Mothe qui avait été capturé à Saint- ...
... De retour d’Acadie, en 1607, Marc Lescarbot a donné de la gomme de sapin acadien « à quelques églises de Paris pour encenser, laquelle a été trouvée fort bonne » (Lescarbot, 2007 : 443). 52. ...
... Le 13 novembre 1612, Louis XIII avait accordé au prince de Condé, son nouveau lieutenant général en la Nouvelle-France, le monopole de la traite des fourrures dans la vallée du Saint-Laurent pour une durée de douze années. 66. « Lebecq » (fol. 381). ...
... Cinq jours plus tard, les associés de la Compagnie du Canada se sont engagés à verser au maréchal de Thémines quatre mille cinq cents livres par an, afin de pouvoir continuer à jouir du monopole de la traite des fourrures. ...
... Champlain quittera Paris, avec son beau-frère Eustache Boullé, le 22 mars 1618. Arrivés à Honfleur, ils devront attendre des vents favorables jusqu’au 24 mai suivant. ...
... Le monopole de la traite des fourrures, dont bénéficiait la Compagnie du Canada, suscitait beaucoup d’oppositions. ...
... Or, il était pour lors en Saintonge, duquel lieu il en envoya deux6 à Paris, avec une commission, non toutefois avec un pouvoir 2. ...