... Je partis de ce village le quatorzième145 jour de janvier suivant, après avoir remercié mon hôte du bon traitement qu’il m’avait fait, espérant ne pas le revoir avant trois mois, et je pris congé de lui. ...
Œuvres complètes de Champlain, tome 1 (Les)
... A cela, je leur dis que, pour mon regard, je n’avais pas d’autre intention que de m’en aller avec mon hôte182, qui m’avait toujours bien traité, et malaisément en pourrais-je trouver un si bon, même si c’était en lui que les Algonquins mettaient la faute ...
... ont faits ceux qui y vont négocier et traiter avec les peuples qui y habitent » (Champlain, 1922-1936 : III, 118). ...
... Dans l’édition de 1627, cette phrase a été ainsi corrigée : « Aussi n’est-il pas de tant de profit et d’utilité, quant aux lieux où se font les traites des pelleteries » (Champlain, 1922-1936 : III, 121). 202. L es Voyages de 1613. ...
... C’est pourquoi je n’en ferai pas mention en ce traité, mon sujet n’étant que de faire un rapport, par un discours succinct et véritable, de ce que j’ai vu et reconnu de plus particulier. ...
... Ils sont bien proportionnés de leur corps, y ayant des hommes bien formés, forts et robustes, comme aussi des femmes et des filles, dont il s’en trouve un bon nombre d’agréables et belles, tant en la taille et la couleur qu’aux traits du visage, le tout ...
... C’est en son nom que se passent les traités de paix avec les peuples étrangers ; le pays même porte son nom [...]. Il faut qu’un capitaine fasse état d’être quasi toujours en campagne. ...
... Trois-Rivières le premier jour de juillet suivant, où ils trouvèrent le père Dolbeau qui s’y était rendu dans les barques des navires nouvellement arrivées de France pour la même traite » (Sagard, 1636 : 30-31). ...
... Il paraît enfin qu’il fut conclu qu’on n’avancerait rien, si l’on ne fortifiait la colonie d’un plus grand nombre d’habitants, de laboureurs et d’artisans ; que la liberté de la traite avec les Sauvages fut indifféremment permise à tous les Français ; ...
... A u commencement de l’année mille six cent dix-huit, le vingtdeuxième jour de mars, je partis de Paris, et mon beau-frère1 que je menai avec moi, pour me rendre à Honfleur, havre ordinaire de notre embarquement, où après un long séjour pour passer la ...