Œuvres complètes de Champlain, tome 1 (Les)

Œuvres complètes de Champlain, tome 1 (Les)

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... faisant la traite des pelleteries, comme nous avons dit. ...

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... On envoya quelques marchandises à terre pour traiter avec eux, mais ils n’avaient rien que leurs robes, qu’ils changèrent car ils ne font aucune provision de pelleteries que pour se vêtir. ...

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... 266  les œuvres complètes de champlain [B.I.339] [B.I.340] [L.III.61] [B.I.341] le moyen des Sauvages de la côte d’Acadie, auxquels on en porte pour traiter de pelleteries) ils ôtent l’écorce et l’arrondissent, hormis d’un côté, où ils mettent du ...

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... Et le 29e jour d’août, nous partîmes du port Royal, en même temps que Pont-Gravé et Des Antons qui allaient au cap Breton et à Canseau pour se saisir des vaisseaux qui faisaient la traite des pelleteries, comme j’ai dit ci-dessus. ...

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... Ne pouvant mettre pied à terre, la chaloupe s’en revint à la barque et les Sauvages retournèrent à terre, lesquels on avait traités humainement. ...

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... Aussitôt que nous y fûmes, ces Sauvages nous voyant à un trait d’arc prirent la fuite dans les terres. Les poursuivre, c’était en vain, car ils sont merveilleusement rapides. ...

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... Marc Lescarbot, avocat au parlement de Paris et écrivain, qui était arrivé en Acadie avec Poutrincourt (Thierry, 2001). 237. Il s’agit du Théâtre de Neptune de Lescarbot inspiré des entrées royales et des spectacles de cour (Wasserman). ...

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... Guillaume Chevalier était un complice de Corneille de Bellois, ancien associé de Dugua de Mons qui avait contrevenu l’année précédente au monopole de la traite des fourrures détenu par celui-ci (Thierry, 2008a : 253). 254. ...

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... L’expédition guerrière menée par Membertou et ses alliés est racontée par Marc Lescarbot dans sa Defaite des Sauvages Armouchiquois publiée à Paris en 1607 (Morrison et Goetz). 262. ...

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... Néanmoins toutes les fois que les pêcheurs arrivaient avec leurs chaloupes pleines de poissons, ces Sauvages choisissaient ce que bon leur semblait, et ne s’amusaient point aux morues, mais prenaient des merlus, bars, et flétans qui vaudraient ici à Paris ...