... Dans sa Description du premier voyage fait à Sumatra par les Français parue à Paris en 1603, le Français François Martin de Vitré, qui avait navigué avec des Hollandais jusqu’aux Indes orientales, a écrit : « Il n’y a rien de meilleur pour se préserver ...
Œuvres complètes de Champlain, tome 1 (Les)
... plaire, je désirais bien m’en retourner à notre habitation pour leur donner plus de contentement, et qu’ils pouvaient juger que je n’avais d’autre intention que d’aller faire la guerre, ne portant avec nous que des armes, et non des marchandises pour traiter ...
... Gravé craignait de voir l’expédition mal tourner et de perdre toute la saison de traite des fourrures. 107. Dont un laquais de Dugua de Mons (Lescarbot, 1612 : 626). 108. ...
... où il s’émut entre eux quelques différends sur le sujet de la guerre, ce qui fut occasion qu’il n’y en eût que certains qui se résolurent de venir avec moi, et les autres s’en retournèrent en leur pays avec leurs femmes et marchandises qu’ils avaient traitées ...
... Ce pauvre misérable jetait des cris étranges, et il me faisait pitié de le voir traiter de cette façon, toutefois avec une telle constance, qu’on eût dit quelquefois qu’il ne sentait presque point de mal. ...
... Champlain s’est entretenu avec Henri IV à Fontainebleau avant le 28 octobre 1609 car ce jour-là le roi était de retour à Paris. 166. ...
... Une fois ces choses résolues, le sieur de Mons s’en retourna à Paris, et moi avec lui174, où je fus jusqu’à la fin de février175, durant lequel temps, le sieur de Mons chercha un moyen d’avoir une nouvelle commission pour les traites des nouvelles découvertes ...
... Je m’équipai des choses propres et nécessaires pour hiverner à notre habitation de Québec et pour cet effet, je partis de Paris le dernier jour de février suivant176, et je fus à Honfleur, où je devais faire l’embarquement. ...
... Depuis le départ de Honfleur, je fus persécuté d’une fort grande maladie qui m’ôtait l’espérance de faire le voyage, et je m’étais embarqué dans un bateau pour me faire reporter en France, au Havre, et là me faire traiter, étant fort mal au vaisseau, ...
... Ils se résolurent à partir et à aller m’attendre aux Trois-Rivières, à 30 lieues plus haut que Québec, où je leur avais promis d’aller les trouver, avec quatre barques chargées de marchandises pour traiter des pelleteries15, entre autres avec les Hurons16 ...