... L’an 1609, le sieur de Poutrincourt arriva à Paris. Le roi, en étant averti et ayant su que, contre l’opinion de Sa Majesté, il n’avait bougé de France, se fâcha fort contre lui. Mais pour contenter Sa dite Majesté, il s’équipa pour faire le voyage. ...
Œuvres complètes de Champlain, tome 2 (Les)
... En fait, Biencourt n’avait pas d’argent pour payer les marchandises de traite et le ravitaillement nécessaire à la colonie de Port-Royal. ...
... abusés : ils devaient contribuer à l’entretien de la colonie de Port-Royal pendant un an et à l’achat de marchandises à échanger avec les Amérindiens contre des pelleteries, mais ils ne pouvaient espérer toucher que la moitié des profits de la seule traite ...
... Le contrat d’association fut passé avec ladite dame autorisée par monsieur de Liancourt, premier écuyer du roi et gouverneur de Paris, son mari. ...
... Charles de Biencourt était parti traiter avec les indigènes. Quant à Louis Hébert, il était déjà rentré en France. 77. Il s’appelait La France (Campeau, 1967 : 438). 78. ...
... J’en portai parole deux ou trois fois au Révérend Père Coton, qui ménageait cette affaire, lequel eût bien désiré que le traité se fût fait avec de moindres conditions, ou par d’autres moyens, qui ne pouvaient être à l’avantage dudit sieur de Mons, ce ...
... Le sieur de Mons était demeuré à Paris pour quelques siennes affaires et, espérant que Sa Majesté lui continuerait sa dite commission, il ne demeura pas beaucoup en repos que l’on ne criât plus que jamais qu’il fallait aller au Conseil. ...
... Variante : « De voir ses terres et peuples » (1ère partie, 116). ...
... En ce lieu, il y avait nombre de Sauvages qui y étaient venus pour la traite des pelleteries, plusieurs desquels vinrent à notre vaisseau avec leurs canots, qui sont de 8 ou 9 pas de long et environ un pas ou un pas et demi de large par le milieu et vont ...
... plus froide que leur pays, et les deux autres d’autres côtes par-dedans les terres, où il y a des peuples sauvages errants qui ne vivent aussi que de la chasse, et c’est le lieu où nos Sauvages vont porter les marchandises que nous leur donnons pour traiter ...