Œuvres complètes de Champlain, tome 2 (Les)

Œuvres complètes de Champlain, tome 2 (Les)

Page 751

... je désirais bien m’en retourner à notre habitation pour leur donner plus de contentement, et qu’ils pouvaient juger que je n’avais pas d’autre intention que d’aller faire la guerre, ne portant avec moi156 que des armes, et non des marchandises pour traiter ...

Page 753

... qui se résolut de venir avec moi, et les autres s’en retournèrent dans leur pays avec leurs femmes et les marchandises qu’ils avaient traitées. ...

Page 763

... Ce pauvre misérable jetait des cris étranges et il me faisait pitié de le voir traiter de cette façon. Toutefois, il était si constant qu’on eût dit qu’il ne sentait parfois aucune douleur. ...

Page 767

... Quand je le vis, je fis s’arrêter nos Sauvages qui rompaient la forteresse, afin que les nouveaux venus eussent leur part du plaisir. ...

Page 768

... I, p. 378). 201. « Je me fis panser ma blessure par le chirurgien de Boyer, de Rouen, qui y était venu aussi pour la traite » dans les Voyages de 1613 (t. I, p. 378-379). 202. « Deux ou trois » dans les Voyages de 1613 (t. I, p. 380). ...

Page 769

... Cela donna plus de sujet de mieux traiter mon garçon, lequel j’équipai de ce qui lui était nécessaire, et nous nous promîmes les uns aux autres de nous revoir à la fin de juin. ...

Page 776

... I, p. 403). 224. « Aussi » dans plusieurs exemplaires des Voyages de 1632 (1ère partie, 174). Les Voyages de 1613 contiennent seulement : « Se loua du bon traitement » (t. I, p. 403). 225. ...

Page 777

... Le lendemain, après avoir traité tout ce qu’ils avaient, qui était peu de chose, ils firent une barricade autour de leur logement du côté du bois228, et disaient que c’était pour leur sûreté, afin d’éviter la surprise de leurs ennemis, ce que nous prîmes ...

Page 778

... Dans ses Voyages de 1613, Champlain n’a pas évoqué la crainte des autres Amérin­ diens, mais celle des autres Français venus pour la traite : « Ils craignaient les autres pataches, comme ils me donnèrent à entendre depuis. ...

Page 779

... Le matin venu, ils achevèrent de traiter ce peu qu’il leur restait et puis s’embarquèrent en leurs canots, nous priant de ne pas toucher à leurs logements pour les défaire, ce que nous leur promîmes, et ils se séparèrent les uns des autres, feignant d ...