Officiers des troupes de la Marine au Canada (Les)

Officiers des troupes de la Marine au Canada (Les)

Page 162

... Des dizaines de petits et moyens postes forment les dépendances qui distribuent localement les marchandises de traite et qui reçoivent les fourrures56. ...

Page 163

... chapitre v • Les officiers des troupes de la Marine, agents de l’Empire … 163 Le poste de traite n’est pas seulement un magasin où marchands et Amérindiens viennent troquer marchandises contre fourrures. ...

Page 164

... En pratiquant la traite légale comme illégale, les commandants de postes pouvaient tirer des revenus colossaux de plusieurs milliers de livres par année en vendant les permis de traite, des marchandises aux Amérindiens et de l’eau-de-vie63. ...

Page 167

... À partir de 1701, selon les clauses du traité, les Iroquois restent neutres dans tout autre conflit avec les colonies britanniques73, ce qui assure une paix relative dans la région, mais incite les communautés à renouer avec leurs anciennes rivalités. ...

Page 168

... Il fallait gérer ces situations avec une main de fer dans un gant de velours… Les tensions ont parfois pris la route de la guerre, menaçant tout le réseau de traite de l’Ouest. ...

Page 169

... des marchandises de traite augmente de façon draconienne. ...

Page 170

... VAUGEOIS, Denis, « Naissance et fin des alliances franco-indiennes », dans Bertrand Fonck et Laurent Veyssière, dir., La chute de la Nouvelle-France : de l’affaire Jumonville au traité de Paris, Québec, Septentrion, 2015, p. 289-290. ...

Page 172

... Les chevaliers, au nombre de trente-six, devaient prêter serment au roi, tandis que son siège était d’abord dans la grande salle de l’abbaye du mont Saint-Michel, puis, à compter de 1661, aux Cordeliers à Paris. ...

Page 180

... de Paris. ...

Page 196

... Parmi ceux-ci, 61 sont originaires de la ville de Paris, dont 19 ­capitaines. Pour les autres villes françaises, le nombre n’est pas significatif. ...