... En agissant ainsi, il cherchait à lier les mains du gouverneur afin de l’obliger à défendre sa nation : puisque les Iroquois remplissaient les clauses du traité francoanglais et évitaient de se battre, le gouverneur devrait lui aussi assumer ses obligations ...
Onontio le médiateur
... Traité de paix préliminaire, et septembre , AC, Série CA, vol. , f. v°. ...
... plaisir » (Charlevoix, Histoire et description générale de la Nouvelle-France, Paris, Pierre-François Giffart, , t. ...
... Le roi aurait certainement considéré comme déshonorant un tel traité avec les Iroquois ; c’était donc le poste de Callière qui était en jeu – poste qu’il devait probablement moins à sa compétence qu’à l’influence de son frère. ...
... Traité de paix préliminaire, et septembre , AC, Série CA, vol. , f. v°. ...
... avec les Français, l’orateur lança à Callière : « Accommodez vous dont tous les deux ensembles et me faites savoir ce que vous aurez reglé. » Il demanda aussi que des marchandises de traite soient envoyées au fort Frontenac, ainsi qu’un armurier « qui ...
... Les Iroquois acceptèrent alors la formulation de Callière et s’engagèrent à revenir à Montréal au mois d’août suivant pour ratifier un traité similaire avec toutes les nations alliées des Français. ...
... Rien ne pouvait mieux répondre aux aspirations politiques des Iroquois que les termes du traité tels qu’ils leur furent rapportés par leurs ambassadeurs. ...
... La clause de médiation a fait l’objet d’une longue négociation et c’est grâce aux pressions exercées par les Iroquois qu’elle fut incluse dans le traité. ...
... Une occasion s’offrit d’ailleurs en ce sens avant même la ratification du traité final, prévue pour le mois d’août . ...