Paroisse Notre-Dame de Québec (La)

Paroisse Notre-Dame de Québec (La)

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... de Saint-François, des résidants de la seigneurie de Beauport. ...

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... Il avait été fondé au temps de Mgr de Laval. Il ne s’était pas remis des années difficiles de la Conquête. Le 6 septembre 1796, le feu éclate dans l’écurie de Thomas Dunn de la rue Saint-Louis, à l’angle de la rue Sainte-Ursule. ...

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... En 1797, un imposant maître-autel, réalisé dans l’atelier de François Baillairgé, est installé sous le baldaquin du chœur de la cathédrale. ...

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... Les marguilliers, songeant à leur confort et à leur rang, se font installer en 1799 leur imposant banc d’œuvre réalisé par François Baillairgé. Adossé à un pilier, du côté droit de la nef, faisant face à la chaire, il est surmonté d’un baldaquin. ...

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... Louis-Joseph Desjardins débarque à Québec en juin 1794 avec trois autres prêtres français. L’évêque Jean-François Hubert, qui manque de prêtres, est certes heureux de voir arriver du renfort de France. ...

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... Ses funérailles ont lieu à l’église de l’Hôtel-Dieu, en présence du curé de Notre-Dame de Québec, Charles-François Baillargeon. Il est inhumé dans l’église de l’Hôtel-Dieu. ...

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... L’institution est alors dirigée par le vieil Henri-François Gravé. André Doucet est ordonné le 1er décembre 1805 par l’évêque coadjuteur Plessis. ...

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... Elle avait été la plus belle église en Nouvelle-France, plus belle que la cathédrale de Mgr de Laval. Les curés de Notre-Dame de Québec avaient souvent eu l’occasion de s’y rendre. ...

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... C’est le fils du navigateur et capitaine de goélette François Signay, originaire de Bordeaux, une vieille ville maritime du sud-ouest de la France. Notre jeune Joseph Signay est en quelque sorte un survivant. ...

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... Le curé Signay et les marguilliers de Notre-Dame de Québec la feront reconstruire en 1817 selon les plans initiaux de François Baillairgé (sur le site de notre actuelle église Saint-Roch). ...