Partir pour la famille

Partir pour la famille

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... Chargées de projet  : Sophie Imbeault et Marie-Michèle Rheault Photo de la couverture  : Photographe  : Omer Beaudoin. ...

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... pratiques de ces populations (Marie-Ursule, 1951 ; Roy, 1981). ...

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... celles qui sont nées en 1913 et se sont mariées (Lavigne, 1983 : 325). ...

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... Les représentants de l’Église voyaient donc d’un très mauvais œil les couples mariés qui n’avaient pas d’enfants ou qui en avaient très peu et ils ne se gênaient pas pour rappeler à leurs fidèles que les enfants étaient des « dons de Dieu » qu’on ne pouvait ...

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... Il était donc très difficile d’échapper à cette rhétorique nataliste qui valorisait les couples prolifiques, comme se le rappelle une informatrice, qui s’est mariée en 1935 : Le clergé avait beaucoup de pouvoir… Des enfants du bon Dieu, il n’était pas ...

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... Dans son ouvrage portant sur la violence envers les enfants dans les familles québécoises, l’historienne Marie-Aimée Cliche rapporte le cas d’une jeune fille qui travaillait comme cigarière à Montréal depuis l’âge de 14 ans et qui a dû faire appel à la ...

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... Marie-Claud Soucy, ms no 6)3 Avec le cœur de la marguerite ? ...

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... Informatrice, mariée entre 1925 et 1940, Montréal (Girard, 1997 : 156). ...

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... Ainsi en était-il, par exemple, de la coutume de lancer du riz ou des confettis sur les mariés lorsqu’ils sortaient de l’église, une coutume qui avait pour but de favoriser la fécondité et qui a été retracée dans de nombreuses régions du Québec (Marie-Ursule ...

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... Elle consistait à subtiliser le soulier de la mariée pour faire une quête, la monnaie déposée devant assurer au couple la prospérité et la fécondité. ...