... Le 16 mars 1971, le ministre procède à leur remplacement et il comble aussi le siège du président laissé vacant depuis la fin du mandat de Paul Gouin en septembre 1967 et celui du commissaire John Bland dont le mandat a pris fin en octobre 1968. ...
Passion du patrimoine (La)
... En décembre 1977, la Commission recommande à nouveau le classement de la prison comme site historique et le gouvernement acquiesce en mars 1978. La maison mère des Sœurs grises de Montréal représente un autre cas de sauvetage. ...
... UNE COMMISSION DES BIENS CULTURELS 221 La goélette Marie-Clarisse II face à l’hôtel Tadoussac. Archives nationales du Québec à Québec, fonds du ministère des Communications, E10/87-853 B1. ...
... En effet, à la suite des recommandations favorables de la Commission, le ministère des Affaires culturelles procède en mars 1976 à la reconnaissance de la collection Lionel-Groulx, composée de neuf fonds d’archives, et du fonds Jacques-Ferron. ...
... L’année suivante, la Commission donne des avis favorables au classement de la collection d’outils provenant de la chalouperie Godbout à Saint-Laurent (île d’Orléans) et de la goélette Marie-Clarisse II (Québec). ...
... Elle recommande donc sa désignation comme arrondissement naturel, le 25 mars 1977. En octobre, la Commission apprend par la voie des journaux que des travaux de recherche minière ...
... Même s’il considère la Commission des biens culturels comme l’incarnation de la conscience des Québécois en matière de patrimoine, le ministre, dans son livre vert, indique la nécessité de repenser sa structure de fonctionnement afin de la démocratiser ...
... Trois modifications majeures S’inspirant de ce livre blanc, le ministre des Affaires culturelles, Denis Vaugeois, dépose en mars 1978 à l’Assemblée nationale un projet visant à amender la Loi sur les biens culturels. ...
... En 1977, le ministre Louis O’Neill nomme l’historienne Marie Lavigne et l’architecte et urbaniste Pierre-S. Guertin afin de pourvoir aux postes alors vacants. ...
... Ce poste rémunéré et dévolu à un fonctionnaire demeure alors vacant jusqu’à l’affectation de Madeleine Bonin-Guévin en mars 1976, fonction qu’elle occupe toujours en 1978. ...