Patriotes et Loyaux

Patriotes et Loyaux

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... Dès 1785, il est établi comme marchand et se spécialise dans la traite des fourrures de la région du Témiscamingue. Il participe à la fondation de la Banque de Montréal en 1817. ...

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... L’entretien des troupes et des chevaux est dès lors aux frais du budget militaire, et ses hommes sont rémunérés au même traitement que les réguliers, soit quatre shillings par jour (SENIOR, 1997 : 147, 257). ...

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... Le 8 février 1839, Papineau s’embarque à New York pour Paris où il publie en mai une Histoire de l’insurrection du Canada. Il obtint une amnistie complète et revient d’exil en 1845. ...

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... Le 17 janvier 1832, Duvernay et Daniel Tracey du Vindicator sont incarcérés durant quarante jours pour libelle diffamatoire, en raison d’un article titré « Pensez-y bien » où les membres du Conseil législatif sont traités de « vieillards malfaisants » ...

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... un vif succès, permettant à Fabre de s’élever socialement, au point que l’une de ses filles épousera George-Étienne Cartier, que son fils Édouard-Charles deviendra premier archevêque de Montréal et que Hector deviendra premier commissaire canadien à Paris ...

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... Il en profite pour se rendre à Paris où il retrouve Louis-Joseph Papineau, lui aussi en exil. Un an plus tard, Duchesnois part pour l’Argentine et s’installe à Buenos Aires où il décide de demeurer définitivement en 1841. ...

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... Il publie aussi un recueil de Notes diverses sur le Bas-Canada, ainsi qu’une traduction du Traité théorique et pratique de l’agriculture de William Evans. Patriotes.set-up.01* 166 rencontrer Amury Girod. ...

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... Fait sa médecine à Paris entre 1816 et 1822. Il exerce ensuite toute sa vie sa profession à Saint-Ours. ...

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... En 1804, il devient commis pour la North West Company qui vient d’absorber la XY Company et, jusqu’en 1813, travaille dans les différents postes de traite de l’Ouest. Insatisfait de ses gages, il quitte son poste en 1823. ...

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... Il se joint en revanche au soulèvement de 1838, notamment au camp de Boucherville où il recrute des habitants de Contrecœur, de Saint-Ours et de Verchères disant que « ceux qui refuseront de marcher verront leurs propriétés brûlées et seront traités ...