Pêcheur normand, famille métisse

Pêcheur normand, famille métisse

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... Jean-François Brière, La pêche française…, op. cit., p. 199. ...

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... Jean-François Brière, « Le commerce triangulaire entre les ports terre-neuviers français, les pêcheries d’Amérique du Nord et Marseille au 18e siècle : nouvelles ­pers­pectives  », Revue d’histoire de l’Amérique française, vol. 40, no 2, automne 1986, ...

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... Figure  7 : Pour un morutier, un voyage de commerce triangulaire commence par l’armement (point 1) qui, dans le cas des voyages de François Mallet, se faisait à Saint-Malo, en Bretagne. ...

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... Archives de la Chambre de commerce de Marseille, LIX 297, Lacour-Raciquout à Roux, 14 septembre 1773, dans Jean-François Brière, La pêche française…, op. cit., p. 94. ...

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... Contrairement à l’année précédente, François fera partie du 4.  Ibid., p. 120-121. 5.  Fils de Jean Mallet et de Jeanne Lecourt ; un parent éloigné de François Mallet. ...

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... En plus de son revenu supplémentaire, François est sûrement heureux de laisser derrière lui le vent de norrois froid et humide qui balaie la baie des Chaleurs à l’automne au profit des températures plus clémentes du sud de la France. ...

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... Pour ce qui est de François et des deux René, ils sont parmi les 50 hommes qui vont naviguer jusqu’à Marseille. ...

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... Jean-François Brière, La pêche française…, op. cit., p. 122-123. ...

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... Le pot-devin de François a augmenté légèrement à 75 livres. On largue les amarres et le navire morutier quitte le port de Saint-Malo le 17 avril. La pêche terminée, François et Louis font partie du voyage à Marseille. ...

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... La famille Vermée est connue de François puisque le père du marié, Pierre Vermée, avait travaillé l’île Saint-Pierre avec son père Jean11. En fait, au retour de François, Françoise est enceinte d’environ sept mois. ...