... de la traite des fourrures au Canada. ...
Pelleteries, manchons et chapeaux de castor
... En 1725, il y a 47 pelletiers à Paris selon Annik Pardailhé-Gallabrun, Naissance de l’intime : 3000 foyers parisiens aux XVIIe-XVIIIe siècles, Paris, PUF, 1988, p. 111. ...
... Voir René de Lespinasse, Les métiers de Paris, Paris, Imprimerie nationale, 1980 (1833) tome I, p. 108. 58. Voir AN, notaire Bierne, VII-86 : 01-08-1645. 59. ...
... Conclusion J usqu’à tout récemment encore, un doute planait sur l’histoire des débuts de la traite des fourrures en Amérique du Nord. ...
... S’il est indéniable que la traite nord-américaine a débuté en s’appuyant sur la présence des pêcheurs français et sur la volonté d’échanger des Amérindiens, il est évident que les possibilités de revente des fourrures dépendaient, pour leur part, des ...
... La plupart d’entre eux tenaient simplement pour acquis qu’une importante demande de fourrures en Europe était le moteur de la traite. ...
... par les échanges entre traiteurs et Amérindiens à cette époque. ...
... Si l’implantation française au Canada est due à l’audace de quelques traiteurs (Champlain, Du Gua de Monts, De Caen) ou aux interventions de certains administrateurs français (Henri IV, Richelieu, Razilly), c’est avant tout la possibilité d’une rentabilisation ...
... Il s’agit d’une question essentielle, puisqu’elle expliquait, entre autres choses, les préférences et le comportement des traiteurs européens dans le contexte de la traite nord-américaine, un aspect sur lequel plusieurs chercheurs ont spéculé1. ...
... Les Félidés À Paris, aux xvie et xviie siècles, nous retrouvons plusieurs espèces de Félins, dont les fourrures sont utilisées par les pelletiers. ...