... La traite devenait également difficile à partir de l’automne, car les vaisseaux couraient alors le risque de rester prisonniers ...
Pelleteries, manchons et chapeaux de castor
... C’est ce genre de problèmes que dut affronter un navire normand armé tardivement pour la traite. Partie du Havre en septembre, La Bonne Renommée (130 tx) arriva à Gaspé au mois d’octobre ou au début de novembre. ...
... Les régions de traite Mis à part Terre-Neuve, d’autres régions situées sur l’Atlantique sont visitées par les marins français de l’époque. L’Acadie est évoquée assez souvent comme lieu de traite, particulièrement à partir du début du xviie siècle54. ...
... La région de Gaspé était à la fois un lieu de traite et une base de départ pour aller mener des expéditions de traite dans d’autres régions60. ...
... En effet, vu de Paris, le niveau de la traite se précise beaucoup plus. Les premiers indices concrets de la présence de fourrures d’origine nord-américaine à Paris remontent à l’année 1545. ...
... C’est par ce réseau que furent amenées à Paris les fourrures d’origine nord-américaine au début des années 1580. ...
... Ils expédiaient de nombreuses fourrures nord-américaines vers Paris depuis au moins 158179. ...
... Plutôt que d’utiliser le réseau commercial habituel et d’attendre les offres d’achat des pelletiers de La Rochelle ou de Bordeaux, René Duret se rendit plusieurs fois à Paris pour vendre les fourrures directement aux marchands. ...
... Si la vente des fourrures à Paris était très encadrée, à cette même époque, la traite des fourrures en Amérique du Nord s’effectuait apparemment sans grande contrainte. ...
... où ils peuvent stocker les marchandises de traite et les fourrures. ...