... Marcel se résolut donc à subir une fois de plus un traitement qu’il connaissait déjà : nettoyage, piqûre, pansement et analgésique. Le lendemain matin, il avait bien plus mal à la tête qu’à la rotule. ...
Peur au ventre (La)
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... L’un d’eux, un certain Chamberland, fut même envoyé à Bruxelles dans un hôpital psychiatrique spécialisé dans le traitement du choc posttraumatique. Il ne revint jamais au combat. ...
... Le règlement l’empêcherait de ramener son butin de guerre à Québec, pourtant il faisait le pari de contourner la loi. Il possédait déjà des billets de banque autographiés de George Formby et des ustensiles décorés de croix gammées. ...
... Ils m’ont arrêtée parce que je faisais partie d’un groupe de résistants qui sabotaient les installations allemandes à Paris. Ils m’ont internée dans un camp de travail et j’y ai passé trois ans. ...
... Ce traitement léger soulageait temporairement Marcel, mais chaque fois les souffrances revenaient avec plus de violence. Le médecin décida donc d’hospitaliser Marcel une semaine, le temps qu’il reprenne du poil de la bête. ...
... Si Marcel avait déjà vu Paris lors de brèves escapades, il pouvait cette fois l’explorer à sa guise. Le matin, il assistait à des conférences sur l’action de la résistance pendant l’occupation À Paris après la libération. ...
... le dernier tour de piste 267 À Paris après la libération. Tous ces militaires sont des Canadiens français. Marcel est le dernier de la première rangée. allemande et l’après-midi le groupe partait en expédition. ...
... Malheureusement, le lendemain, le sergent l’avait convoqué et lui avait annoncé que son rapatriement était retardé jusqu’à nouvel ordre parce que Poitras, le soldat qui devait le remplacer, avait été tué dans un accident de voiture à Paris. ...