Pierre Juneau

Pierre Juneau

Page 54

... Participation au mouvement des ciné-clubs Dès 1947, pendant ses études à Paris, les contacts de Juneau avec les JEC de France et de Belgique lui fournissent l’occasion de se rendre compte qu’elles se préoccupent du cinéma, alors qu’au Québec le mouvement ...

Page 60

... Revoir Paris et Rome est toujours un plaisir. ...

Page 66

... Le traitement du commissaire est alors de 15 000 $. ...

Page 68

... pendant longtemps s’opposer à une section française indépendante, mais, ajoute-t-il aussitôt, «  je vais faire en sorte que les Canadiens français n’aient pas le goût de se séparer, cela en augmentant leur nombre et en leur garantissant des conditions de traitement ...

Page 71

... Ensuite, il organise des visionnements de Pour la suite du monde à Paris et dans d’autres villes françaises en Bretagne, où le film est mieux reçu qu’à Cannes parce que la langue québécoise de l’île aux Coudres est plus facilement comprise par les Bretons ...

Page 108

... Il se fait traiter de « dictatorial… Hitler… fasciste… communiste… isolationniste… muzzled (muselière)… » (K. Nash). ...

Page 112

... c h a pi t re 5 1975-1982 : mandarin à Ottawa Petit saut dans la politique partisane L e vendredi 29 août 1975, le premier ministre Pierre Elliott Trudeau annonce que Pierre Juneau va remplacer Gérard Pelletier, nommé ambassadeur à Paris, comme ministre ...

Page 113

... Dans une conférence au Congrès de l’Institut d’administration publique (Le Devoir, 6 septembre 1975), où il traite du problème Bell, il énonce un de ses grands principes, la distinction entre « les concepts de citoyen et de consommateur, qui, tout en ...

Page 124

... Gérard Pelletier, ambassadeur du Canada à Paris, Bryce MacKasey, président d’Air Canada, Bud Drury, président de la Commission de la capitale nationale, Pierre Juneau, sous-secrétaire d’État, et autres puissent facilement collaborer avec le nouveau gouvernement ...

Page 139

... Un peu à la blague, Florian Sauvageau me raconte que, lorsqu’il travaillait à Radio-Canada durant les années 1970, il valait mieux proposer un grand reportage au Brésil que de vouloir traiter de la crise sévissant à l’Université McGill au sujet du français ...