Pierre Millet en Iroquoisie au XVIIe siècle

Pierre Millet en Iroquoisie au XVIIe siècle

Page 6

... Lebeau Saint-Laurent (Québec) H4N 1S2 Diffusion en Europe : Diffusion de l’édition québécoise Librairie du Québec 30, rue Gay-Lussac 75005 Paris France Dépôt légal – 3e trimestre 1998 Bibliothèque nationale du Québec ISBN 2-89448-111-X ...

Page 19

... Mentionnons également la thèse de doctorat de Roland Viau, qui traite du phénomène de la ...

Page 22

... En effet, on y trouve plusieurs lettres des missionnaires qui n’ont jamais été publiées, certaines originales, d’autres ayant été retranscrites à partir des spécimens entreposés aux archives jésuites de Paris, de Rome et d’ailleurs. ...

Page 26

... En effet, tout comme au cours des siècles précédents, Millet ne fit jamais l’objet d’une attention soutenue et n’a jamais été considéré comme étant autre chose qu’un figurant éphémère de notre histoire, à l’exception du traitement laudatif et biaisé du ...

Page 28

... Le premier ensemble offre un bref aperçu de la vie et des traits de caractère distinctifs du missionnaire, question de bien situer le sujet de l’étude. ...

Page 45

... fourrure serait appelée à devenir la base principale du mercantilisme français en Amérique, une implantation à l’intérieur du continent rapprochait les sources d’approvisionnement, réduisait le nombre d’intermédiaires entre ces sources et le comptoir de traite ...

Page 46

... À la suite de la destruction de la Huronie par des forces iroquoises, en 1649, la colonie française connut un certain répit, et des traités occasionnels avec les nations iroquoises conduisirent à des périodes de relative accalmie. ...

Page 47

... Il s’agissait d’une suite de traités, qui renouvelaient régulièrement l’engagement des parties, et entretenaient le fil conducteur des relations diplomatiques. ...

Page 48

... Non seulement étaient-ils irremplaçables comme force motrice de la traite de fourrure, mais leur connaissance du territoire et leur contribution aux effectifs militaires français étaient absolument nécessaires. ...

Page 51

... Ayant reçu son diplôme de maître ès arts, il fut admis au noviciat jésuite de Paris le 3 octobre 1655. Au collège de La Flèche, il entreprit ses études de philosophie en 1657-1658, et y enseigna diverses classes de 1658 à 1661. ...