Pierre Miville

Pierre Miville

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... Une aventure commerciale À l’automne 1669, peu après le décès de Pierre Miville, Jacques et François s’associent à leur mère « [p]our raison de la traicte aux sauvages […] ». ...

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... Jacques et sa mère s’engagent à rembourser à leurs créanciers le prix des marchandises de traite. ...

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... Au printemps 1670, donc, Jacques Miville et sa mère doivent plus de 1 500 livres à leurs créanciers. ...

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... Pour ajouter au mystère, en 1675, Jacques Miville se fera concéder une terre dans Lauson « Joignam d’un costé george cadoret d’autre costé deffunt pierre minville120 […] ». ...

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... Le 2 septembre 1672, François, tant en son nom que comme procureur de ses sœurs – Jacques n’est pas mentionné –, en appelle de la décision du huissier auprès du Conseil souverain. ...

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... Mais on ne semble pas tous du même avis chez les Miville, car ni Jacques ni ses soeurs ne ratifient le contrat de vente, qui sera quand même validé. ...

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... Bien que la mère ne puisse plus agir et que Jacques ait quitté la seigneurie, les différends ne s’aplanissent pas pour autant. ...

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... Jacques Miville est le grand perdant des accords négociés avec le marchand Alexandre Petit parce qu’il est « tant en son nom comme solidairement obligé avec deffuncte Lad. Mongis Sa Mere qui pour son faict Et regard Comme fils Et heritier […] ». ...

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... Jean Terme dit Rutac, un célibataire suisse originaire du canton de Soleure, établi depuis peu dans la seigneurie d’Argentenay, habite chez un voisin, Jacques Delaunay. ...

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... Le lendemain du drame, deux colons, Jacques Godefroy et Jacques L’Hoste, transportent le cadavre à Québec, où deux chirurgiens l’examinent. ...