... On connaît le nom de cinq de ces navires : le Cardinal, le Bon-François, le Saint-Sauveur (appelé aussi le Neuf) et le Notre-Dame, qui jaugent respectivement 300, 90, 150 et 250 tonneaux. On retrouve enfin l’Anglois, dont le tonnage est indéterminé. ...
Pierre Miville
... Bessoneau Vicaire Ce seize may 1634 a esté baptisé francois fils de pierre Miuille et de Charlotte Mangin & a eu po parrain francois Saboureux Sr de St Thomas sergent Major de Brouage et Marraine Marie Boursier. ...
... Le parrain de François, on l’a vu, était un militaire, sergent-major de la garnison de la ville. ...
... L’historien Robert Rumilly a raconté le combat : Le fort St-Jean, vite démantelé par l’artillerie du [navire] St-Francois, n’est pas en mesure de contenir un siège. Mais une lionne y commande. ...
... Marcel Trudel, Atlas de la Nouvelle-France, Sainte-Foy, Les Presses de l’Université Laval, 1968, p. 88. ...
... Quant à François Bissot, l’époux de Marie Couillard, il construira en 1655 le premier moulin de la seigneurie de Lauson avant de devenir juge-sénéchal de ladite seigneurie en 1666 et y construire la première tannerie de la Nouvelle-France en 1668. ...
... François d’Aubert, Colbert, Paris, Perrin, collection « Tempus », 2014, p. 545. 64. Marcel Trudel, Histoire de la Nouvelle-France…, op. cit., p. 296-297. ...
... Ils forment le plus puissant groupe guerrier amérindien et sont souvent en lutte avec les Français Jacques Mathieu, La Nouvelle-France – Les Français en Amérique du Nord xvi e – xviii e siècle, Québec, Les Presses de l’Université Laval, 1991, p. 83. ...
... En effet, le 6 juillet 1655, il s’était engagé à François Perron pour aller travailler à Québec pendant trois ans comme maçon pour les marchands Arnaud Péré et Jean Rineveau. ...
... iii • L’enracinement 51 Terres de François et de Pierre Miville dans la seigneurie de Lauson. Père et fils Miville se sont établis non loin l’un de l’autre et face au fleuve Saint-Laurent. ...